Lolo Cochet en Islande
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Re: Lolo Cochet en Islande
Pour celles et ceux d'entre-vous qui souhaiteraient faire une virée à vélo en Islande, voici quelques éléments de réflexion.
Juillet 2010. La galère débute à Charles De Gaule ADP. Après être passé à l'enregistrement, il faut descendre au sous-sol faire peser le vélo, s'acquitter des frais de transport par avion, remonter à l'enregistrement avec la quittance où on vous envoie à l'autre bout de l'aérogare toujours avec le vélo, faire enregistrer celui-ci avec les bagages hors gabarit (surf, perches d'athlétisme etc ) et enfin revenir à l'embarquement . Comptez une à deux heures. Enfin nous voici embarqués. Je dis nous car je vais voyager avec Cathy, ancienne championne de judo, presque deux tours du monde à vélo et qui en est à son troisième voyage en Islande. Nous avons chacun notre matériel car mon séjour ne sera que de deux semaines et le sien de huit.
Arrivés à Keflavik airport, surprise de taille, les vélos sont restés à Paris par manque de place dans la soute. Six heures à attendre le vol suivant, le temps d'admirer une étrange oeuvre d'art. Est-ce le rêve de Concorde tué dans l'oeuf?
Enfin les vélos sont là, le carton du mien a bien souffert. Pas de chance, les pédales scotchées à l'intérieur ont été perdues. Sans pédales ça ne va pas le faire. Elles seront retrouvées sur le tarmac entre l'avion et l'entrée du bâtiment.
Et c'est parti. Pas bien loin puisque la première journée a été perdue. La camping Alex à quelques km de là nous accueille pour la première nuit et prend en consigne les cartons. Je crois que ce service n'existe plus.
Nous sommes en 2010 quelques mois après l'éruption du volcan Eyjafjallajökull dont les panaches de cendres ont paralysé l'Europe. L'idée est d'y monter à vélo ou du moins de s'approcher des bouches éruptives le plus possible. L'approche se fait par la route 1, belle voie goudronnée qui fait le tour complet de l'île. Deux jours plus tard les tentes sont plantées au camping de Seljalandfoss, à quelques centaines de mètres de la belle chute d'eau. A part le bruit de la cataracte aucune nuisance, nous sommes seuls au camping. Par contre un peu plus de monde au pied de la cascade, des cars de touristes venus de Reykjavik.
La reconnaissance du terrain par les côtés ouest et nord du volcan ne nous permet pas de trouver la piste qui permet d'y accéder. Soit le glacier n'est pas accessible soit l'éruption a totalement modifié la topographie.
Les rivières charrient autant de cendre que d'eau
Mes bonnes vieilles Paraboots auront tout de même laissée leur empreinte usées dans la cendre.
Renseignements pris auprès d'un local ,les journalistes qui ont couvert l'évènement ont emprunté une piste Est située entre les deux glaciers Eyjafjallajökull et Myrdalsjökull et dont le point de départ est à proximité de la cascade de Skogafoss. En route donc pour Skogar
Juillet 2010. La galère débute à Charles De Gaule ADP. Après être passé à l'enregistrement, il faut descendre au sous-sol faire peser le vélo, s'acquitter des frais de transport par avion, remonter à l'enregistrement avec la quittance où on vous envoie à l'autre bout de l'aérogare toujours avec le vélo, faire enregistrer celui-ci avec les bagages hors gabarit (surf, perches d'athlétisme etc ) et enfin revenir à l'embarquement . Comptez une à deux heures. Enfin nous voici embarqués. Je dis nous car je vais voyager avec Cathy, ancienne championne de judo, presque deux tours du monde à vélo et qui en est à son troisième voyage en Islande. Nous avons chacun notre matériel car mon séjour ne sera que de deux semaines et le sien de huit.
Arrivés à Keflavik airport, surprise de taille, les vélos sont restés à Paris par manque de place dans la soute. Six heures à attendre le vol suivant, le temps d'admirer une étrange oeuvre d'art. Est-ce le rêve de Concorde tué dans l'oeuf?
Enfin les vélos sont là, le carton du mien a bien souffert. Pas de chance, les pédales scotchées à l'intérieur ont été perdues. Sans pédales ça ne va pas le faire. Elles seront retrouvées sur le tarmac entre l'avion et l'entrée du bâtiment.
Et c'est parti. Pas bien loin puisque la première journée a été perdue. La camping Alex à quelques km de là nous accueille pour la première nuit et prend en consigne les cartons. Je crois que ce service n'existe plus.
Nous sommes en 2010 quelques mois après l'éruption du volcan Eyjafjallajökull dont les panaches de cendres ont paralysé l'Europe. L'idée est d'y monter à vélo ou du moins de s'approcher des bouches éruptives le plus possible. L'approche se fait par la route 1, belle voie goudronnée qui fait le tour complet de l'île. Deux jours plus tard les tentes sont plantées au camping de Seljalandfoss, à quelques centaines de mètres de la belle chute d'eau. A part le bruit de la cataracte aucune nuisance, nous sommes seuls au camping. Par contre un peu plus de monde au pied de la cascade, des cars de touristes venus de Reykjavik.
La reconnaissance du terrain par les côtés ouest et nord du volcan ne nous permet pas de trouver la piste qui permet d'y accéder. Soit le glacier n'est pas accessible soit l'éruption a totalement modifié la topographie.
Les rivières charrient autant de cendre que d'eau
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Renseignements pris auprès d'un local ,les journalistes qui ont couvert l'évènement ont emprunté une piste Est située entre les deux glaciers Eyjafjallajökull et Myrdalsjökull et dont le point de départ est à proximité de la cascade de Skogafoss. En route donc pour Skogar
Modifié en dernier par bern95 le 19 nov. 2020, 15:33, modifié 2 fois.
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Re: Lolo Cochet en Islande
Daniel78 a écrit :Galuc a écrit :Juste une petite remarque: pourquoi dire "la blonde hollandaise" et non pas Itchy Boots ou Noraly?
Oui c'est idiot. Désolé.
Ses vidéos étaient assez controversées sur ce forum.
Bien qu'elle roulait seule, loin, et sur une Royal Enfield. Avec quelques belles rencontres à la clé.
On a même dit que ses vidéos marchaient uniquement parce qu’elle est blonde. Du pur sexisme selon moi....
+1
Quand on n'aime pas un dessin, on ne tue pas les gens, on en fait un plus joli - (Léa 6 ans).
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C'est avec les vieilles "fontes" qu'on fait les meilleurs trips !!!
http://ded31-royal-blog.blogspot.com/
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Re: Lolo Cochet en Islande
J'aime beaucoup le début Bernard. Merci !
Dis-moi si tu as une difficulté pour insérer des images.
Utilise la fonction Fichiers joints pendant que tu édites ton message, juste en dessous des boutons Aperçu, Envoyer.
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Re: Lolo Cochet en Islande
Daniel78 a écrit :J'aime beaucoup le début Bernard. Merci !
Dis-moi si tu as une difficulté pour insérer des images.
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Merci Daniel pour ton aide. J'y suis tout de même arrivé.
Une pose et la suite arrive
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Re: Lolo Cochet en Islande
Oui, ça commence bien
Ne comptez pas les jours, faites que les jours comptent.
Mohamed Ali
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Re: Lolo Cochet en Islande
Nous voici donc à Skogar au pied de la belle chute. La météo n'est pas terrible. Nous en profitons pour visiter le très beau musée ethnologique.
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Re: Lolo Cochet en Islande
j'adore
quand j'ai pris l'avion pour aller à cuba, de Lyon, ca a été très facile, mais je n'avais pas de remorque.
Le vélo dans un sac avec 2 sacoches. Mais je ne faisais pas de camping et j'allais dans un pays chaud
ca a été plutot facile. Même si c'était ma plus grosse inquiétude dans l'organisation du voyage.
Vélo plus remorque, ca fait du poids et du volume, il y a eu un sur-cout pour le billet ?
quand j'ai pris l'avion pour aller à cuba, de Lyon, ca a été très facile, mais je n'avais pas de remorque.
Le vélo dans un sac avec 2 sacoches. Mais je ne faisais pas de camping et j'allais dans un pays chaud
ca a été plutot facile. Même si c'était ma plus grosse inquiétude dans l'organisation du voyage.
Vélo plus remorque, ca fait du poids et du volume, il y a eu un sur-cout pour le billet ?
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Re: Lolo Cochet en Islande
Encore, Bern, encore !
CB
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Re: Lolo Cochet en Islande
Finalement en début d'après-midi une fenêtre météo, comme dirait Skyranger, semble vouloir s'ouvrir. Sans trop réfléchir non nous engageons sur la piste qui devrait nous conduire mille mètres plus haut. Le début dans la caillasse est relativement roulant, les énormes 4X4 locaux ayant préparé le terrain. Mais très vite nous trouvons de la cendre bien fine. En 68 à Paris courrait le slogan "Sous les pavés, la plage". Ici c'est sous la cendre la neige.
Cela fait maintenant quatre heures que nous poussons les vélos , les nuages nous ont enveloppés. Le premier refuge Fimmvörduhals atteint. En cas de gros mauvais temps nous ne serons pas perdus. Comme dit Lolo Cochet dans ses vidéos, en Islande on ne peut pas se perdre. Il est vrai que le balisage est excellent.
Toute cette cendre qui étouffe le moindre bruit rend le lieu encore plus impressionnant. A partir de maintenant il nous faut laisser les vélo pour atteindre le second refuge que nous apercevons parfois entre deux passages nuageux.
Il nous faut maintenant tenter de trouver les bouches éruptives dont Cathy a enregistré les points GPS. Car je dois vous dire que Miss Cathy ne laisse rien au hasard. Toujours du matos tip-top, entrainement physique à l'Insep, alors que moi c'est plutôt Décath-Lidl-Ti punch. Voyez son vélo.
- Cathy, s'il te plait, c'est le moment de sortir tes points GPS.
- Impossible de les trouver, je n'ai pas du valider leur entrée me répond elle.
Nous voila bien! il est 21 h et avons encore deux bonne heures devant nous et même davantage car en ce début de juillet les jours sont très très longs. Même si près du but, avec le brouillard qui règne au sommet, il ne serait pas prudent de sortir du sentier balisé pour s'aventurer à la recherche des bouches éruptives. Et puis il faut le dire notre préparation est insuffisante. Un guide aurait été le bienvenu.
Nous retrouvons nos tentes un peu après minuit
Cela fait maintenant quatre heures que nous poussons les vélos , les nuages nous ont enveloppés. Le premier refuge Fimmvörduhals atteint. En cas de gros mauvais temps nous ne serons pas perdus. Comme dit Lolo Cochet dans ses vidéos, en Islande on ne peut pas se perdre. Il est vrai que le balisage est excellent.
Toute cette cendre qui étouffe le moindre bruit rend le lieu encore plus impressionnant. A partir de maintenant il nous faut laisser les vélo pour atteindre le second refuge que nous apercevons parfois entre deux passages nuageux.
Il nous faut maintenant tenter de trouver les bouches éruptives dont Cathy a enregistré les points GPS. Car je dois vous dire que Miss Cathy ne laisse rien au hasard. Toujours du matos tip-top, entrainement physique à l'Insep, alors que moi c'est plutôt Décath-Lidl-Ti punch. Voyez son vélo.
- Cathy, s'il te plait, c'est le moment de sortir tes points GPS.
- Impossible de les trouver, je n'ai pas du valider leur entrée me répond elle.
Nous voila bien! il est 21 h et avons encore deux bonne heures devant nous et même davantage car en ce début de juillet les jours sont très très longs. Même si près du but, avec le brouillard qui règne au sommet, il ne serait pas prudent de sortir du sentier balisé pour s'aventurer à la recherche des bouches éruptives. Et puis il faut le dire notre préparation est insuffisante. Un guide aurait été le bienvenu.
Nous retrouvons nos tentes un peu après minuit
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Re: Lolo Cochet en Islande
Je réponds dès maintenant aux questions de logistique et de matériel.
Avec Iceland air à l'époque de ce voyage il y avait un supplément de 80€ pour le vélo la remorque démontée et emballée étant considérée comme un bagage Je devais avoir 16 kg + 21 kg. Pour le retour, à Keflavik, c'est un agent de chez Icelandair qui s'est chargé du vélo et je n'ai rien eu à payer.
Mon vélo est un cadre VTT Giant avec deux roues rayonnées tandem et des périphériques que je peux entièrement démonter sur le bord de la route: shimano déore et alivio. Pas du haut de gamme donc. Les roues sont en 26 pouces et pour ce voyage en Islande j'avais des pneus VTT et une roue avant sans dynamo dans le moyeu à cause des gués à franchir. L'éclairage par dynamo n'est pas nécessaire car l'été il fait jour très tard. Cependant il faut penser au brouillard fréquent. Un éclairage à piles est souhaité.
Avec Iceland air à l'époque de ce voyage il y avait un supplément de 80€ pour le vélo la remorque démontée et emballée étant considérée comme un bagage Je devais avoir 16 kg + 21 kg. Pour le retour, à Keflavik, c'est un agent de chez Icelandair qui s'est chargé du vélo et je n'ai rien eu à payer.
Mon vélo est un cadre VTT Giant avec deux roues rayonnées tandem et des périphériques que je peux entièrement démonter sur le bord de la route: shimano déore et alivio. Pas du haut de gamme donc. Les roues sont en 26 pouces et pour ce voyage en Islande j'avais des pneus VTT et une roue avant sans dynamo dans le moyeu à cause des gués à franchir. L'éclairage par dynamo n'est pas nécessaire car l'été il fait jour très tard. Cependant il faut penser au brouillard fréquent. Un éclairage à piles est souhaité.
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Re: Lolo Cochet en Islande
Après l'échec de l'excursion sur l'Eyjafjallajökull et n'ayant pas le temps d'attendre une nouvelle fenêtre météo nous décidons de nous rendre au Landmannalaugar réputé pour être un des plus beaux endroits de toute l'Islande. Pour cela il faut reprendre la route 1 puis après Vik contourner le grand glacier Myrdalsjökull et prendre la 209 puis la F208 vers le nord. Comme le dit Lolo quand ça commence par F c'est de la piste. La F208 est assez roulante. Très peu de poches de sable mou, quelques gués pas trop profonds, des raidillons casse-pattes.
Depuis Vik, il faut compter trois jours si le vent ne vient pas contrarier l'affaire. Car le vent est la hantise du cycliste et comme par hasard il est toujours dans le nez. Côté nourriture il faut prévoir 3 ou 4 jours dans les sacoches. L'eau n'est pas un problème sur ce trajet car si le premier camping à Hrifunes est très rustique, le ravitaillement en eau y est possible et le second à Holaskjöl est accolé à un gîte.
Pour les raidillons, nous avions convenus de nous attendre. Je montais le vélo et la remorque le plus haut possible souvent en poussant puis redescendais aider Cathy à pousser le sien; Il faut dire qu'elle était lourdement chargée puis-qu'après le Landmannalaugar elle avait l'intention de s'enfoncer vers le centre au milieu de nul part et avait prévu de la nourriture et de la lecture pour plusieurs semaines.
Pour les gués, enlever les chaussures et mettre les botillons de plongée ou pour moi les méduses, inspecter le passage , passer la remorque puis le vélo si c'est profond. Sinon y aller franco.
En règle général le débit des cours d'eau est faible le matin plus élevé en fin d'après midi en raison de la fonte de la neige
Après trois jours de route et de piste nous arrivons donc au Landmannalaugar qui mérite une arrêt de plusieurs jours pour profiter des belles randos pédestres ou équestres que propose le lieu. Les amateurs de bains peuvent également s'y détendre de préférence tôt le matin pour éviter l'affluence.
Depuis Vik, il faut compter trois jours si le vent ne vient pas contrarier l'affaire. Car le vent est la hantise du cycliste et comme par hasard il est toujours dans le nez. Côté nourriture il faut prévoir 3 ou 4 jours dans les sacoches. L'eau n'est pas un problème sur ce trajet car si le premier camping à Hrifunes est très rustique, le ravitaillement en eau y est possible et le second à Holaskjöl est accolé à un gîte.
Pour les raidillons, nous avions convenus de nous attendre. Je montais le vélo et la remorque le plus haut possible souvent en poussant puis redescendais aider Cathy à pousser le sien; Il faut dire qu'elle était lourdement chargée puis-qu'après le Landmannalaugar elle avait l'intention de s'enfoncer vers le centre au milieu de nul part et avait prévu de la nourriture et de la lecture pour plusieurs semaines.
Pour les gués, enlever les chaussures et mettre les botillons de plongée ou pour moi les méduses, inspecter le passage , passer la remorque puis le vélo si c'est profond. Sinon y aller franco.
En règle général le débit des cours d'eau est faible le matin plus élevé en fin d'après midi en raison de la fonte de la neige
Après trois jours de route et de piste nous arrivons donc au Landmannalaugar qui mérite une arrêt de plusieurs jours pour profiter des belles randos pédestres ou équestres que propose le lieu. Les amateurs de bains peuvent également s'y détendre de préférence tôt le matin pour éviter l'affluence.
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Re: Lolo Cochet en Islande
Le Landmannalaugar
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Re: Lolo Cochet en Islande
Super ton CR et tes photos
Merci
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Mohamed Ali
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Re: Lolo Cochet en Islande
Quand on n'aime pas un dessin, on ne tue pas les gens, on en fait un plus joli - (Léa 6 ans).
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C'est avec les vieilles "fontes" qu'on fait les meilleurs trips !!!
http://ded31-royal-blog.blogspot.com/
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Re: Lolo Cochet en Islande
Pour moi, le voyage se termine. Il ne me reste que quelques jours pour retourner à Reykjavik.
Pas vu d'ours, il n'y en a pas, mais des chevaux magnifiques,
Un passage à Gullfoss, Geysir, Reykjavik, blue lagoon,
L'avion est à minuit, juste à l'heure pour voir un coucher de soleil.
Pas vu d'ours, il n'y en a pas, mais des chevaux magnifiques,
Un passage à Gullfoss, Geysir, Reykjavik, blue lagoon,
L'avion est à minuit, juste à l'heure pour voir un coucher de soleil.