Constellation

[yvesmetz]

Tu as la même idée que Pifou .....Patiente c'est lui qui apportera la réponse .

[Dom]

Pour Pifou,. lui montrer ce qu'il a acheté .

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Madame était là quand tu as posé l'embrayage sur le buffet ?!?!

[yvesmetz]

Madame était là quand tu as posé l'embrayage sur le buffet ?!?!

Ce plan de travail pas encore traité en verra d'autres !....L'embrayage est fin propre, j'fais pas l'con .

[yvesmetz]

Pis voilà pour Philippe :

2,7 kg ou à peu près pour le nouvel embrayage .

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4,7 kg plus qu'à peu près (contre poids à base de boites de conserve) pour l'ancien .

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2 kilos en moins j'y crois .

[Jackymoto]

Ça allège plus que les caves qui scient les garde boue!

[PRYT]

C'est bien ce que je pensais (entre 2 et 2,5 kg): énorme, et du porte-à-faux en plus, je crois (pour le ciseau).
Tout bénef: plus léger et plus efficace.
T'en avais déjà vu un Yves, qu'est-ce que tu en penses ?

[Pifou56]

voici le "scissor clutch", réputé comme une expérience malheureuse de Royal Enfield, embrayage dont furent dotés les twins de 1959, meteor minor, super meteor et constellation (sauf erreur) :

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[PRYT]

Je ne suis pas sur (=je ne crois pas) que les SM aient eu l'embrayage à ciseaux..
Les Meteor Minor et les Constellation l'ont eu jusqu'à environ mi-1961.

[Jackymoto]

Toutes les japonaises sont montées commack (piqué aux allemands!) et ça fonctionne bien...
la mise au point, en mécanique, c'est le plus dur.
Le père Menesson (carbus Solex) disait "l'idée c'est 10% d'inspiration, la réalisation 90% de transpiration..."

[Pifou56]

Je ne suis pas sur (=je ne crois pas) que les SM aient eu l'embrayage à ciseaux..
Les Meteor Minor et les Constellation l'ont eu jusqu'à environ mi-1961.

oui selon le catalogue de pièces de Hitchcok. Documents sérieux certes, mais ce n'est pas la Bible.

[yvesmetz]

Après quelques réparations, remplacement de disques garnis, rectification de cannelures, etc, .... j'aurais, j'aurais, tout bonnement augmenté un poil les logements pour billes du système et remplacé les billes par des plus grasses pour qu'à course équivalente le décollage des disques soit enfin probant .
Comme dit Jacqui sur d'autres que j'ai eu aussi, ça fonctionne très bien .

Le nouvel embrayage léger moderne, sûr, fera l'affaire !.....Mais, comme l'anglois je suis conservateur et donc aurais laissé tout d'origine par principe .

[PRYT]

Chez Royal, ils n'ont jamais réussi à le faire marcher correctement.
Extrait du livre de Steve Wilson, rapportant les tentatives de Syd Lawton au 500 miles de Thruxton (un gros concessionnaire de Porthmouth, qui était persuadé des qualités de base des twin RE - ma 500 Bullet 1957 est sortie de sa concession):

...Et tout cela ne s'améliora pas. McIntyre fit équipe avec Alan Rutherford en 1960 toujours pour Lawton, après avoir fait un test de préparation sur la distance à Oulton Park. Après les ennuis d'embrayage de l'année précédente, Enfield avait monté sur la machine de course le nouvel embrayage qui équipait désormais les Constellation et les 500 Meteor Minor commercialisées. Il s'agissait d'un mécanisme dit à « ciseaux » comportant quatre billes sur une rampe actionnant un levier poussant le plateau de pression. Mais le test révéla que ce mécanisme lourd provoquait des vibrations à haute vitesse. Il cassa dans le dernier tour, le tourillon de liaison du mécanisme en laiton sortant du levier de poussée et la butée du câble se détachant. Enfield assura résoudre le problème en mettant un tourillon en acier.
C'est ce qu'ils firent et Bob McIntyre prit la tête de la course pendant deux tours, puis le moins expérimenté Rutherford ralentit, avec une patte d'échappement cassée. McIntyre reprit la tête loin devant quand l'embrayage lâcha dans le troisième tour : le câble avait cassé à un endroit où la soudure de la butée avait coulé, le rendant fragile. Il le signala au stand et accomplissait un tour sans embrayage quand le tourillon sauta, bloqua la chaîne primaire et le moteur. Comme l'embrayage ne marchait pas, McIntyre ne put se remettre au point mort et fut projeté à terre à Club Corner, avec la chance de ne pas se blesser sérieusement vu la vitesse à laquelle il se trouvait. « C'est avec de tels détails que tout va mal » dit Lawton, « et, le moins que l'on puisse dire, c'est ce qui fait de la course de machines standards un tel défit ».
L'histoire prit fin en 1961. L'embrayage avait été redessiné, le plateau étant poussé plus classiquement par une tige à travers l'arbre primaire. Mais selon Lawton, Wilson-Jones s'était mis en tête de changer les vis des chapeaux par des modèles plus costauds, avec de nouvelles bielles. Lawton avertit qu'il n'avait pas confiance en ces modifications mais Jack Booker réussit à le persuader de ne pas aller avec McIntyre et son nouveau coéquipier chez Triumph. Seul McIntyre pilota en course cette année-là. Dès le départ il prit la tête du groupe, et il était à 185 km/h en haut de la montée quand une de ces nouvelles vis se cisailla, la bielle se brisa et ouvrit le carter, provoquant la chute. Cela mit à mal Enfield qui arrêta ses tentatives en course. Même s'il y avait eu là une grande part de malchance, c'était complètement frustrant, comme auparavant les années perdues avec la Bullet. Cela n'empêcha pas Lawton de continuer à dire que « les gros twins Enfield étaient de merveilleuses machines, solides et fiables, avec le potentiel d'être les meilleurs bicylindres verticaux britanniques. J'avais donné à l'usine une liste de trente points qui demandaient à être revus, dont très peu le furent – ce fut considéré comme si j'allais marcher sur leurs plate-bandes ».
Ah l'orgueil des ingénieurs !!

[Jackymoto]

"Ah l'orgueil des ingénieurs !!" et surtout le manque d'écoute des usines. Quand j'ai travaillé
dans le matériel agricole japonais, la moindre suggestion d'un obscure mécano comme moi, était
écoutée et nous recevions le mois d'après les machines neuves avec la modification!
Un collègue qui faisait également Citroën, avait demandé pendant VINGT ans le remplacement
des papillons éclopés à une seule branche des réglages des freins à main de 2cv par des doubles
avant d'avoir obtenu satisfaction( les simples bousillaient les doigts des mécanos, et je sais de quoi je parle!)

[yvesmetz]

la moindre suggestion d'un obscure mécano comme moi, était
écoutée et nous recevions le mois d'après les machines neuves avec la modification!

N'est pas Jacqui qui veut !.... Même qu'avec toute ta science que tu prodigues à tout va, les japonnais doivent te connaitre .

Tu donnes l'envie de découvrir, d'investir, dans la mécanique facile .... Equipé comme tu l'es .

Quand je te regarde, aussi facile dans l'action, sûr d'arriver toujours au bout avec l'outillage, le savoir, qui est tien, ben l'envie me dit doucement,
Yves t'en as encore à apprendre .
Jacqui, personne que je connaisse en ce domaine qui puisse te suivre ..... Je ne parle même pas de rapidité .
Tes longueurs d'avance quelle chance pour moi !...Nous .

En fait : tu reviens toujours sur la table .

[Marco]

"...Quand j'ai travaillé dans le matériel agricole japonais, la moindre suggestion d'un obscure mécano comme moi, était
écoutée et nous recevions le mois d'après les machines neuves avec la modification!...

Ils avaient surtout la trouille que tu débarques ! Iroshima et Nagasaki leur ont bien suffit comme ça !