Le forum de discussion de http://www.royalenfieldlesite.fr. Pour échanger autour des Royal Enfield
faisait remarquer son utilité pour sortir d'une grande ville Californienne ou les autoroutes portent aussi des noms de directions géographiques ... 
nirlo a écrit :fab le motard a écrit :dans le temps, j'étais livreur de pizza ... fallait connaitre presque par coeur ses arrondissements, rues
il fallait repérer avant de partir, le chemin à prendre sur la carte.
le bon vieux temps ...
note que c'est chaud en ce moment ou les sens de circulation changent, les tramways et pistes cyclables se multiplient et que les axes dédiés à la circulation automobile se restreignent .
Les taxis parisiens ont toujours ça dans leur examen (enfin je pense, j'espère). Être capables d'emmener le client n'importe où dans Paris en partant de n'importe où sans avoir recours à une aide (peut-être un plan).
C'est ce qui les distinguent des " Ubers " qui ne jurent que par leurs smartphone.
Mais ça ne les a pas rendus aimables hélas (les taxis, pas les Ubers).
Quand tu rentres comme flic à la PP, tu touches le (ou plutôt les) guides de Paris et de Banlieue (familièrement appelés " bitumard ") que tous les touristes connaissent quand ils demandent leur chemin. Mais les jeunes générations s'en remettent plus volontiers -hélas- à leurs applications favorites.
Tu as aussi une carte de circulation qui te permets de circuler gratos sur toutes les lignes de métro, RER de l'Ile de France, toutes zones. Un pass navigo annuel intégral quoi (ça j'ai rendu avec regret), ce qui en fait l'administration la plus écolo de l'Ile de France, plus encore que la RATP dont les employés n'ont qu'une carte permettant de circuler que dans le métro et le RER (RER RATP bien sur). Sauf que les flics (en PJ en tout cas) préfèrent les véhicules de service pour circuler...
1R7 a écrit :La boussole (ou compas ? ) de l'Himalayan peut parfois aider à trouver, non pas le chemin mais, la direction à prendre aussi bien en ville qu'en dehors ...
La première moto équipée d'une boussole (sauf erreur) était la Kawasaki 1300 Voyager dans les années 80, lors de son essai aux USA, le journaliste (français) après s'être interrogé sa présence au tableau de bord
Gadget ou pas ... à chacun d'en juger ...
druid a écrit :
Bref, au Japon, un GPS peut être utile, à condition de connaitre les coordonnées... GPS... de l'endroit où vous souhaitez vous rendre.
Reste la solution de "l'adresse" sur un morceau de papier. Le japonais est toujours aimable et prêt à vous orienter.
nirlo a écrit :Ah m... encore un !
nirlo a écrit :druid a écrit :
Bref, au Japon, un GPS peut être utile, à condition de connaitre les coordonnées... GPS... de l'endroit où vous souhaitez vous rendre.
Reste la solution de "l'adresse" sur un morceau de papier. Le japonais est toujours aimable et prêt à vous orienter.
Oui et de savoir les rentrer dans l'appareil.
En revanche, les français ne se portent pas spontanément au secours des touristes qui cherchent leur route. Encore une de nos " aimables " spécificité.
Daniel78 a écrit :nirlo a écrit :Ah m... encore un !
Repos !
Non, ce n'est pas ce que tu crois.
Je l'ai acheté en librairie quand j'ai commencé à bosser à Paris.
Avant j'étais en banlieue et allais très peu à la capitale.
(J'y vais encore le moins possible).
C'était l'époque oú on était jamais plus de deux dans un bureau.
La boîte oú je bossais à l'époque accueillait beaucoup d'anciens militaires jeunes retraités, très prisés pour leur formation pointue dans mon domaine technique.
Et mon "coéquipier" de burlingue était un ancien de la PP.
Pas un flicard comme il disait, son titre là-bas c'était Monsieur l'Ingenieur. Son chef était un flic lui.
On a passé du temps et fait un paquet de missions ensemble, en bagnole, en métro.
Il me parlait beaucoup de son passage à la PP.
Il avait gardé cette mentalité particulière et cet esprit de corps.
Super souvenirs en tous cas. Mais ce n'est pas le sujet.
Pour en revenir aux guides, fallait quand même se les trimbaler.
Mais pas le choix, c'était avant le GPS, les applis, avant le GSM, et même le Bi-Bop et le Tatoo.
Très vite tu memorisais les rues, les lignes de métro, les correspondances.
A Paris tu comptes le nombre de stations de métro et tu multiplies par 1m30. Ça te donne le temps de trajet.
druid a écrit :Disons plutôt que c'est une spécificité parisienne...
Daniel78 a écrit :nirlo a écrit :druid a écrit :
Bref, au Japon, un GPS peut être utile, à condition de connaitre les coordonnées... GPS... de l'endroit où vous souhaitez vous rendre.
Reste la solution de "l'adresse" sur un morceau de papier. Le japonais est toujours aimable et prêt à vous orienter.
Oui et de savoir les rentrer dans l'appareil.
En revanche, les français ne se portent pas spontanément au secours des touristes qui cherchent leur route. Encore une de nos " aimables " spécificité.
Par contre il faut faire gaffe quand tu demandes ton chemin au Japon et surtout en Corée (j'ai fait les deux en train + métro).
En plus de mal comprendre mon anglais, et de ne pas le parler, en Asie dire non est une épreuve.
Donc si tu demandes "savez vous ou se trouve... ",
La réponse sera invariablement oui de la tête.
Quitte à t'envoyer dans certains cas n'importe oú, pour ne pas passer pour quelqu'un qui ne veut pas aider.
Mais en règle générale il suffit de déplier un plan pour avoir de l'aide sans même la demander.
Et le niveau de service dans les transports et la serviabilité des employés est à des standards inconnus chez nous.
J'avais oublié un sac à dos dans le Shinkansen. Oui la fatigue...
On me l'a restitué le jour même. La nana derrière son comptoir a appelé le conducteur du train, qui a prévenu le contrôleur, qui a déposé le sac à l'arrêt suivant, oú le sac m'attendait.
Ça paraît évident, faites l'essai ici. Le temps juste de trouver et remplir les formulaires, t'as déjà loupé ton avion de retour.
En plus de mal comprendre mon anglais, et de ne pas le parler, en Asie dire non est une épreuve.
Donc si tu demandes "savez vous ou se trouve... ",
La réponse sera invariablement oui de la tête.
Quitte à t'envoyer dans certains cas n'importe oú, pour ne pas passer pour quelqu'un qui ne veut pas aider.
