nirlo a écrit :Pour revenir au sujet, une visite de l'usine CF...
Pas mal de main d'oeuvre.
nirlo a écrit :Pour revenir au sujet, une visite de l'usine CF...
Daniel78 a écrit :nirlo a écrit :Pour revenir au sujet, une visite de l'usine CF...
Pas mal de main d'oeuvre.
Fonzie a écrit :c'est déja commencé :ils implantent leurs nouvelles usines en Afrique , c'est encore moins cher!
Daniel78 a écrit :Fonzie a écrit :c'est déja commencé :ils implantent leurs nouvelles usines en Afrique , c'est encore moins cher!
En plus ils y sont "chez eux".
nirlo a écrit :Daniel78 a écrit :Fonzie a écrit :c'est déja commencé :ils implantent leurs nouvelles usines en Afrique , c'est encore moins cher!
En plus ils y sont "chez eux".
C'est clair. Les " Etat z'uniens " on réussit à faire dépendre l'Europe du Dollar en s'implantant en Europe par le plan Marshall (pas si désintéressé qu'ils ont bien voulu le dire), les Chinois font de même de façon beaucoup plus brutale et moins hypocrite en proposant aux pays dans lesquels ils visent une implantation (en gros toute l'Afrique, l'Algérie) et tous les pays d'Asie satellites une aide aux investissements, tout en sachant que ces pays seront incapables de les rembourser. Ils les tiennent donc par la dette et peuvent ainsi imposer leur volonté. Même les Italiens et les Grecs sont menacés par ce péril !
Les commerçants Chinois qui se sont implantés à la Réunion ont fait fortune de cette manière. Ils ouvraient des " boutiques " tenant des " General Store " du Far-West partout, surtout dans les écarts. Ces magasins proposaient un bric à brac icroyable, allant des matériaux de construction à l'alimentaire, sans oublier l'indispensable débit de boisson. Toujours ouverts, ils ne dérogeaient jamais aux demandes de la clientèle, laquelle souvent " au ki " (ric rac) faisait inscrire les dépenses sur un carnet qui, si tout allait bien étaient épurées à la fin du mois, sinon le commerçant trouvait toujours un moyen de recouvrer sa dette.
De nos jours il ne perdure plus que quelques boutiques de ce genre dans l'ïle, les Chinois (des vrais, quasi tous originaires de la région de Canton) se sont reconvertis dans la grande distribution, l'import export et les professions médicales et libérales.
fab le motard a écrit :J'aime bien quand on décrit un peu d'histoire
tout est bien , sauf :nirlo a écrit :[tant la tradition d'excellence est ancrée dans leurs gènes.
là, ca serait un sujet à débat ... sur les genes, les races, des "qualités" inscrites dans les gènes ...
Daniel78 a écrit :fab le motard a écrit :J'aime bien quand on décrit un peu d'histoire
tout est bien , sauf :nirlo a écrit :[tant la tradition d'excellence est ancrée dans leurs gènes.
là, ca serait un sujet à débat ... sur les genes, les races, des "qualités" inscrites dans les gènes ...
Je pense que plutôt que de gènes, Nirlo voulait parler de culture de l’excellence et de mise en compétition dès le plus jeune age.
Courant dans certains pays d'Asie.
Daniel78 a écrit :nirlo a écrit :Daniel78 a écrit :Fonzie a écrit :c'est déja commencé :ils implantent leurs nouvelles usines en Afrique , c'est encore moins cher!
En plus ils y sont "chez eux".
C'est clair. Les " Etat z'uniens " on réussit à faire dépendre l'Europe du Dollar en s'implantant en Europe par le plan Marshall (pas si désintéressé qu'ils ont bien voulu le dire), les Chinois font de même de façon beaucoup plus brutale et moins hypocrite en proposant aux pays dans lesquels ils visent une implantation (en gros toute l'Afrique, l'Algérie) et tous les pays d'Asie satellites une aide aux investissements, tout en sachant que ces pays seront incapables de les rembourser. Ils les tiennent donc par la dette et peuvent ainsi imposer leur volonté. Même les Italiens et les Grecs sont menacés par ce péril !
Les commerçants Chinois qui se sont implantés à la Réunion ont fait fortune de cette manière. Ils ouvraient des " boutiques " tenant des " General Store " du Far-West partout, surtout dans les écarts. Ces magasins proposaient un bric à brac icroyable, allant des matériaux de construction à l'alimentaire, sans oublier l'indispensable débit de boisson. Toujours ouverts, ils ne dérogeaient jamais aux demandes de la clientèle, laquelle souvent " au ki " (ric rac) faisait inscrire les dépenses sur un carnet qui, si tout allait bien étaient épurées à la fin du mois, sinon le commerçant trouvait toujours un moyen de recouvrer sa dette.
De nos jours il ne perdure plus que quelques boutiques de ce genre dans l'ïle, les Chinois (des vrais, quasi tous originaires de la région de Canton) se sont reconvertis dans la grande distribution, l'import export et les professions médicales et libérales.
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Le prochain sur la liste de la Chine/Inde, est l'Amérique du Sud.