Ppat a écrit :La réalité du lobbying parisien
https://www.bfmtv.com/paris/replay-emis ... 60283.html
Encore un clou enfoncé dans le cercueil de la moto et plus grave encore, des libertés fondamentales !
Voilà une proposition totalement démagogique, accusatrice, moralisante et socialement dégueulasse... socialement dégueulasse surtout de la part de militants soit-disant “écolos” dont le positionnement devrait plutôt se trouver vers la gauche de l'échiquier politique. Mais non, là on est carrément dans une forme de fascisme...
Ces activistes de RLS sont déjà ceux qui ont servi de faux-nez à Hidalgo pour imposer le stationnement payant des motos, ce sont eux qui ont fayoté auprès du Conseil des tas pour rendre la directive européenne sur le CT-2RM obligatoire (alors que rien ne l'imposait juridiquement)...
Ces emmerdeurs qui veulent interdire les 2RM thermiques nuit et jour à Paris rebondissent opportunément sur la proposition de P.Y. Bournazel, élu de droite à la mairie de Paris qui n'a pas trouvé mieux pour se faire mousser, ce con !
Et ses faux-culs d'élus du camp d'Hidalgo qui disent "gna-gna-gna, ça va être difficile à mettre en place paskeu ça dépend de la métropole, tout ça..." Ils ne sont pourtant pas gênés pour faire voter leur ségrégation des SUV... quel théâtre pitoyable !
Mais tout ça procède, petit-à-petit, d'un "moto bashing" qui laissera des traces, qui entérine peu à peu de nouvelles restrictions qui seront rendues socialement acceptables à force de les répéter... et dire que ces fâcheux de politiciens et de pseudos-militants subventionnés sont les mêmes qui pleurnichent à chaque élection de la montée des nazillons alors qu'ils font tout ce qu'il faut pour que les fâchés finissent fachos. Pffff !
Cons à bouffer du foin ! Et encore, les ânes sont plus intelligents !
Si Paris et la Petite-couronne deviennent de plus en plus invivable, ce n'est pas à cause du bruit des motos mais bien à cause de ces emmerdeurs !
Bournazel est venu du Cantal pour devenir politicien à Paris, alors on va émigrer en Auvergne, tiens !