Aujourd’hui je ne sais pas mais dans les années 60/70 si n’importe
quel poireau - je suis bien placé pour le savoir - pouvait accéder à
la licence nationale ce n’était pas le cas pour, par exemple, la licence
inter vitesse : fallait un petit palmarès en courses de vitesse nationales ou dans
d’autres discipline moto, cross, trial… rallyes! et passer devant une commission d’attribution.
Mon bon Gédéon,
Sauf à ce que ça ait changé depuis, ce que je ne sais pas, dans les années 90 il fallait encore apparaitre sur ce que l'on appelait une "liste de notoriété" pour une licence inter trial et par exemple, une inscription aux SSDT. Donc à l'époque, licnce nationale en poche, j'avais du en passer par la Coupe de France.
Moi j'en ai fait mais j'ai trouvé ça chiant
Peut-être n'étais tu tout simplement pas doué.
Faire le tour d'un circuit de cross ou de vitesse, c'est facile. À la portée de n'importe qui, même si tu vas mettre cinq minutes de plus que les autres pour en faire le tour.
Rentrer dans une zone de trial, ça peut parfois être facile. En ressortir, beaucoup moins...
Bon, mais on s'en fout. Le trial n'intéresse pas grand monde ici. C'est bien dommage.
C'est pourtant la discipline motocycliste la plus utile pour acquérir les bonnes bases et savoir se servir au mieux d'une moto, y compris sur l'asphalte.
Easy on the throttle, steady on the gears, roll her over gently and she'll last for many years.