Royal Enfield le Site : Le Forum

Attention, je m'adresse aux possesseurs de tomtom, je ne connais pas les autres gps !

Ouvrir Google Maps : https://maps.google.fr/


1 - Aller d'un point A à un point B, ajouter autant d'étapes/de passages désirés. L'exemple ci-dessous est simplifié.




2 - La proposition de Google maps ne me convient pas, alors je déplace moi-même mon tracé directement à l'écran.
Le cercle blanc est l'emplacement exact par où je désire passer.





3 - Attention, bien zoomer afin de ne JAMAIS placer le point de repère sur une intersection !





4 - Ouvrir le petit symbole du lien (la chainette) et copier l'URL.





5 - Ouvrir le convertisseur http://www.sdesimeur.com/gmap_xxx/gmap2xxx/gmap2xxx_v040/
et copier l'URL dans la zone prévue à cet effet.





6 - Cliquer sur "Tansformer l'URL en fichier.





7 - Quelques secondes après le ficher est prêt.
Enregistrer le fichier sur son ordinateur.





8 - Connecter son GPS tomtom et rechercher le dossier "itn".
Copier le fichier dans ce dossier.




Pour accéder à l'itinéraire que l'on vient de préparer :
sur le GPS, aller dans :

- planification d'itinéraire

- options

- charger un itinéraire

- choisir l'itinéraire préparé

sympa
et pour copier/coller sur ma carte IGN ?

Merci Jean Luc
La question que je me pose avec le navigateur du GPS est :
qu'est qui se passe quand on sort de l’itinéraire ?
que fait le zinzin ?

Super je vais étudier cela, et si j'y parviens pas j'aurais plus qu'a mourir de honte

pinsole07 a écrit :Merci Jean Luc
La question que je me pose avec le navigateur du GPS est :
qu'est qui se passe quand on sort de l’itinéraire ?
que fait le zinzin ?

Il cherche à te ramener sur ton tracé le plus rapidement possible. Il n'ira pas à l'endroit où tu as quitté ton tracé, il ira à l'endroit le plus proche de ton point gps en question.

C'est à dire, si tu as quitté ton tracé depuis 30 km, évidemment, il ne te ramènera pas en arrière...

Mais attention, là, je parle des tomtom, pas des autres que je ne connais pas.

ça doit marcher aussi en copiant l'adresse dans Itnconv, http://www.commentcamarche.net/download/telecharger-282-itn-converter c'est sympa pour convertir en fichier tomtom ou autre.
Maps est pas mal mais je préfère faire mon itinéraire avec l'interface de carte michelin d'itnconv, pour voir les petites routes en vert.

fab le motard a écrit :sympa
et pour copier/coller sur ma carte IGN ?

Bien qu'étant un grand fan de gps tomtom, je reste persuadé que les cartes Michelin ou IGN restent complémentaires.
J'ai d'ailleurs toujours avec moi une carte papier, les deux ne sont pas dissociables à mes yeux.

Salut,

moi, quand je prépare un roulage, je prends une carte routière en papier de bois d'arbre, je prends un crayon à papier en bois d'arbre, une règle (souvent en plastique) ou une ficelle et je trace une ligne droite entre le départ et l'arrivée.
Ensuite, je repère l’itinéraire qui suit au plus près cette ligne droite en évitant les voies rapides, les autoroutes, tous ces trucs chers, pas beaux et surtout pas poétiques.
Je prends une feuille de papier et je note les bleds traversés, des fois avec le nom de la route (D 995 qui devient D18 et ainsi de suite). J'indique éventuellement des symboles de direction, façon road-book (tourne à gauche au RD PT ou TDSRP...).
Cette feuille de papier ira sous le crystal de la sacoche réservoir ou dans la poche la plus accessible une fois en route.

Je mémorise bien la carte, j'analyse le relief (les cours d'eau dans les creux, donc les villes vers les creux), les autoroutes qui traversent le paysage, les lignes ferrovières, etc...
Je fouille dans ma collec' de cartes routières détaillées celles dont j'aurais besoin et celle en cours sera glissée dans la sacoche de réservoir ou dans le blouson...

Et hop, c'est parti. En route, je reste attentif à la direction avec le soleil, le cap, ce genre de trucs qui s'apellent le "sens de l'orientation". Lequel n'est pas émoussé par l'emploi de ces bidules électroniques. Je sais d'où je pars, je sais où je veux aller et là où je me trouve entre les deux, je le découvre si je n'y suis jamais passé. Si je suis paumé (pas souvent), tant mieux, ça fait de l'aventure et c'est l'occasion de découvrir l’autochtone et ses coutumes, son accent, ses breuvages...

Ceux qui ont roulé avec moi savent que ça va bien comme ça et que je n'ai pas besoin de GPS.

mimi.lulu a écrit :Attention, je m'adresse aux possesseurs de tomtom, je ne connais pas les autres gps !

Bonjour à tous,

Le convertisseur de sdesimeur est prévu pour fonctionner avec tous les types de GPS.

Pour un GPS autre que TomTom, à l'étape 6 de la manip (très pratique) décrite par mimi.lulu, ligne "Sélectionner un type de sortie souhaité", choisir "GPX" au lieu de "ITN".

Le reste sans changement.

Jihel a écrit :Pour un GPS autre que TomTom, à l'étape 6 de la manip (très pratique) décrite par mimi.lulu, ligne "Sélectionner un type de sortie souhaité", choisir "GPX" au lieu de "ITN".

Ah eh bien je ne savais pas... Merci !

Marco a écrit :Salut,

moi, quand je prépare un roulage, je prends une carte routière en papier de bois d'arbre, je prends un crayon à papier en bois d'arbre, une règle (souvent en plastique) ou une ficelle et je trace une ligne droite entre le départ et l'arrivée.
Ensuite, je repère l’itinéraire qui suit au plus près cette ligne droite en évitant les voies rapides, les autoroutes, tous ces trucs chers, pas beaux et surtout pas poétiques.
Je prends une feuille de papier et je note les bleds traversés, des fois avec le nom de la route (D 995 qui devient D18 et ainsi de suite). J'indique éventuellement des symboles de direction, façon road-book (tourne à gauche au RD PT ou TDSRP...).
Cette feuille de papier ira sous le crystal de la sacoche réservoir ou dans la poche la plus accessible une fois en route.

Je mémorise bien la carte, j'analyse le relief (les cours d'eau dans les creux, donc les villes vers les creux), les autoroutes qui traversent le paysage, les lignes ferrovières, etc...
Je fouille dans ma collec' de cartes routières détaillées celles dont j'aurais besoin et celle en cours sera glissée dans la sacoche de réservoir ou dans le blouson...

Et hop, c'est parti. En route, je reste attentif à la direction avec le soleil, le cap, ce genre de trucs qui s'apellent le "sens de l'orientation". Lequel n'est pas émoussé par l'emploi de ces bidules électroniques. Je sais d'où je pars, je sais où je veux aller et là où je me trouve entre les deux, je le découvre si je n'y suis jamais passé. Si je suis paumé (pas souvent), tant mieux, ça fait de l'aventure et c'est l'occasion de découvrir l’autochtone et ses coutumes, son accent, ses breuvages...

Ceux qui ont roulé avec moi savent que ça va bien comme ça et que je n'ai pas besoin de GPS.

tout pareil

cathymi a écrit :ça doit marcher aussi en copiant l'adresse dans Itnconv, http://www.commentcamarche.net/download/telecharger-282-itn-converter c'est sympa pour convertir en fichier tomtom ou autre.
Maps est pas mal mais je préfère faire mon itinéraire avec l'interface de carte michelin d'itnconv, pour voir les petites routes en vert.

juste un tout petit conseil en passant, mieux vaut éviter de télécharger via ces portails, c'est pas toujours très "clean".
une fois trouvé le soft, c'est mieux de télécharger chez l’éditeur en direct, dans ce cas : http://www.benichou-software.com/
moins de barres non désirées et de cochonneries qui s’installent.

Marco a écrit :blablabla

oué marco, je suis entièrement d'accord avec toi, j'ai d'ailleurs dit que je ne dissociais pas la carte du gps...

En fait, ma technique est de regarder la carte, de rêver un max sur les noms des villes traversées, noter les points qui me semblent intéressants, et préparer mon itinéraire sur google maps.

je sort un petit peu du sujet

mois je suis depuis plusieurs années fidèle adepte de Garmin ( ZUMO660) et du programme Mapsource remplacez par BaseCamp. Les cartes Michelin 1/250000 ET le GPS sont 2 outils complémentaires.

isawood a écrit :

cathymi a écrit :ça doit marcher aussi en copiant l'adresse dans Itnconv (...)

juste un tout petit conseil en passant, mieux vaut éviter de télécharger via ces portails, c'est pas toujours très "clean".
une fois trouvé le soft, c'est mieux de télécharger chez l’éditeur en direct, dans ce cas : http://www.benichou-software.com/
moins de barres non désirées et de cochonneries qui s’installent.

Sage conseil. Mais noter, tant qu'on y est, qu'il n'y a pas de version Mac ou Linux d'ITN Converter, et que "le portage vers les systèmes Mac OS ou Linux n'est pas prévu pour l'instant".

Pour les Macounets, la seule solution (que je connaisse, et qui fonctionne) est celle indiquée par mimi.lulu.