Les vidéos sympa...

[APEMA]

Nostalgie de la vidéo du moto-club de Vitry le François...Donc daté "1972/1973", c'était quand le permis "A" était encore à 16 ans (passé à 18 ans en juillet 1973)...la moyenne d'âge des motards devait être...quoi ? 17 ans sans doute...Aujourd'hui, un rassemblement de motards serait plutôt à...combien ? 55, 60 ans ?

Autre souvenir, effectivement, les guidons "multi-positions" (plutôt Bottelin-Dumoulin que Tomaselli, car les vrais bracelets étaient quand même assez rares) : Souvenirs d'un incontournable du début des années 1970 (rares étaient ceux qui conservaient le guidon livré d'origine)...En fait, ces guidons "style course" donnaient un inconfort total sur de grands trajets, car les repose-pieds des japonaises (et encore plus des anglaises) étaient situés assez en avant, pour aller avec les guidons "cornes de vaches" vendus aux USA, premier marché du monde de la moto...Du coup, on avait extrêmement mal au dos au bout de 150, 200 km... Mais tant pis, on était "dans le ton"... Fallait être jeune !

On remarque aussi que les 125 côtoient les 750 sans problèmes...J'ai des souvenirs de concentrations où on partait pour faire 800 km dans le week-end, à 20 ou 30 motos du moto-club, quelles que soient les motos : Des 125 japonaises en duo avec bagages roulaient (toujours en zone rouge !) de concert avec des "4 pattes" ou des BM série 5, ou encore des Triumph Trident, autrement plus adaptées à ce type de gros roulage...Et même (c'était mon cas, à 17 ans) avec des "vieilles" comme ma 250 BSA C11 qui "tenait" (110 km/h maxi !) plus ou moins les 125 japonaises (les Honda K3 ou K4, seulement, parce que les Yamaha AS2 ou AS3 étaient loin devant !)...Mais on se retrouvait tous le soir sur le camping de la concentration...un peu crevés (et les mains noires pour moi, parce que la BSA faisait pas mal de caprices sur le trajet ! ).

Oui, nostalgie...

[claude et flo condrieu]

On remarque aussi que les 125 côtoient les 750 sans problèmes...J'ai des souvenirs de concentrations où on partait pour faire 800 km dans le week-end, à 20 ou 30 motos du moto-club, quelles que soient les motos :

Encore d'actualité ici dans le Gers, entre autre avec le moto club de La Romieu, 30 motos dans le Larzac pour la Pentecôte, 32 personnes, cinq femmes au guidon, et même sous la pluie, pas peur...

Moyenne d'âge des participantes et participants: 50 ans.

C'est bien, ici, ils sont restés scotchés dans les années 80...

[fab le motard]

Pour ceux qui hésitent entre une Meteor et une R18.
...

Tu penses à un indécis en particulier, capable de tels grands écarts ?

Un gars qui hésitait entre un petit mono indien et une grosse américaine ???

[Jackymoto]

Explication d'un importateur sur la pénurie de motos:
https://youtu.be/5rqm2g4lwDA

[druid]

Excellente explication de la part du patron de Yamaha France.
Nous avons exactement les mêmes problèmes dans la boite pour laquelle je bosse.

[mimi.lulu]

Nous avons exactement les mêmes problèmes dans la boite pour laquelle je bosse.

Les gens biens sont en retraite.

[druid]

Pas compris.

??

[bulot46]

Pénurie aussi sur les matériaux de construction, avec à la clé une augmentation de 30% !

[Grégory Tlse]

Yess...plus de bois,entre autres!!!

[Taurim]

La pénurie de bois, c'est à cause de tous les cafés/restaurants qui ont fabriqué leur terrasse en même temps ?

Dans ce cas ça passera. Par contre pour la crise des semi conducteurs c'est bien plus général et ça met plein d'entreprises dans la merde, à commencer par les fabricants de voitures et de motos.

[Tonton]

Y'a plus de Benco non plus ?

[Taurim]

C'est surtout du boulot qu'il risque ne ne plus y avoir

[Ded31]

Y'a pû d'saisons,
y'a pû d'justice,
de savoir vivre,
de vrais Carambars,
d'jeunesse,
d'respect,
personne,
de place,
de croquettes,
de temps à perdre,
de Pfizer et d'Moderna ni d'ARN messager
de gaz,
d'essence (et faut qu'on avance),
de pétrole et d'idées,
de cheveux sur la tête à Mathieu,
de bonnes manières (on sait plus où on les a foutues !),
qu'à crever....

[JacquesD]

En 1974 des malfaisants nous ont fait le coup du "Y a pu d'sucre".
Des tas de couillons apprentis boursiers se sont fait flouer, il s'agissait tout de même de gens pouvant débloquer facilement 250 à 300 000 Fr, sanhs doute des professions dans lesquelles on pouvait faire du black. Les pertes ont été rudes avec la chute des cours,(on parlait de 70 millions) de l'époque, toutes ces opérations étaient passées par des cabinets spécialisés, car le populo n'avait pas encore le droit d'aller seul en bourse.
Faute de mieux l'Etat a bouché le trou, et l'ensemble des français à participé à ce renflouement.
Voilà ce qu'en disait Le Monde Publié le 17 juin 1975 à 00h00 - Mis à jour le 17 juin 1975 à 00h00
Les excès de la spéculation ont conduit au marasme sur le marché du sucre
Le marché des sucres blancs de Paris, fermé depuis six mois après avoir littéralement " éclaté " sous l'effet d'une spéculation follement engagée à la hausse, et surprise par le renversement de la tendance, va-t-il pouvoir être rouvert ? Ses opérations font l'objet d'un recours contentieux devant le Conseil d'État, dont l'arrêt devrait être prononcé avant l'été, ce qui permettrait peut être de reprendre les transactions sur la place de Paris. Il serait temps, car l'Association des négociants en sucre de Londres vient de décider de créer un marché à du sucre blanc qui fonctionnera parallèlement à celui des sucres roux, et cela à partir du 16 juillet prochain. Une telle initiative, dont l'objet est de combler le vide causé par la fermeture de notre marché, était fatale : elle devrait précipiter la mise au point des mécanismes d'un nouveau marché et hâter le règlement des litiges en cours, que la chute vertigineuse des prix du sucre depuis décembre 1974 ne vient guère faciliter.

Par F. RENARD.

[Marco]

En 1974 des malfaisants nous ont fait le coup du "Y a pu d'sucre".
Des tas de couillons apprentis boursiers se sont fait flouer, il s'agissait tout de même de gens pouvant débloquer facilement 250 à 300 000 Fr...

Et quatre ans plus tard, en 1977, Georges Conchon s'inspire de cette crise pour en faire un roman titré "Le sucre" dont Jacques Rouffio fera un film en 78, avec Jean Carmet, Gérard Depardieu, Michel Piccoli, Roger Hanin, Claude Piéplu...