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[Ex-Gromono]

Chez Sérignac, si tu pointais en rouge (deux minutes (3,4,?) avant l'heure) tu perdais un quart d'heure ...
En moto, l'hiver, brouillard et mottes de terre sur la route, cela m'est arrivé quelques fois.
Comme ils me l'on fait, la fois d'après j'attendais au poste de travail : "Que faites-vous ?" J'attends le quart, puisque je ne suis pas payé ...
Quand tu partais un quart d'heure plus tard, ils ne disaient rien ...
Et on ne leur avait jamais rien demandé, c'est beau, mais pas pris en compte .

[eglishadow]

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[fab le motard]

et c'est où?

[bulot46]

Pas si loin de ça, quand je travaillais chez Thomson à Gennevilliers en 1974, lorsque j'arrivais 5 minutes en retard, c'était un quart d'heure qui sautait, plus de 5 minutes, c'était 1/2heure.
Le soir, il y avait les vigiles près de la sortie qui fouillaient au hazard les gars qui auraient piqué quelque chose dans l'usine, si c'était le cas, viré sur le champ.
Une fois, je vois des vis et écrous par terre, je les ramasse et là le contremaître me dit de laisser ça parterre, car j'étais trop payé pour le faire, il y avait les balayeurs pour ça !
Sinon la cantine n'était pas chère et bonne !

[Daniel78]

J'ai connu ça quand je bossais en usine étant jeune.
La quinzaine en équipe de nuit, il y avait moins de chefs que la journée. On allait souvent se changer au vestiaire un peu en avance.
Mais on devait attendre devant la pointeuse en regardant la pendule mère.
Car si tu pointais 1 minute avant l'heure de débaucher (23h30 je crois), on te décomptais un quart d’heure sur ta paie.

La fouille des gardiens à la sortie était rarement aléatoire. Dans une usine automobile il y a beaucoup de pièces intéressantes.
C'était souvent sur indication d'un "ami" qui avait cru voir, et qui avait renseigné le poste de sécurité.
Je fouillais toujours mes poches avant de sortir. Au cas où quelqu'un se soit trompé de poche de veste "malencontreusement".
Car c'était effectivement un licenciement sur le champ.

[Jackymoto]

Et il oublie de préciser que les mecs étaient payés au lance pierres, vu que c'était un employeur important du coin, et qu'il estimait que c'était un honneur de bosser chez lui.

Oui, les employeurs ont usé et abusé de leur situation de monopole dans les
petites villes. Sans compter les braves gens qui ne faisaient jamais gréve: le travail à l'usine c'était leur argent de poche car
ils avaient trois vaches à la maison. Ça rendait fou mon vieux pote Jean qui était venu à Limoges pour mieux gagner sa croûte...avec
de vrais ouvriers.

[mimi.lulu]

La Juva4 dans la campagne chinonaise !
Avec ma future épouse toute petite !

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[Jackymoto]

Vitrée, c'était une Dauphinoise 5 places.

[filou]

J'allais le dire ...

[eglishadow]

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[mimi.lulu]

Vitrée, c'était une Dauphinoise 5 places.

Je ne savais pas que ça s'appelait une Dauphinoise.
Après une recherche sur Internet, le nom est Juvaquatre Dauphinoise.

[mimi.lulu]

Vitrée, c'était une Dauphinoise 5 places.

Je ne savais pas que ça s'appelait une Dauphinoise.
Après une recherche sur Internet, le nom est Juvaquatre Dauphinoise.

Elle s'appelle Dauphinoise car elle a pris le moteur de la Dauphine en 1956.

[JicéduVar]

J'en ai vu passer une, qui leurs ressemblait, le week-end dernier à La Chapelle en Vercors.

[three wheels]

Quelques unes issues de ma collection personnelle, OK, elles sont un peu "orientées" !!!

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[Jackymoto]

Les caisses canadiennes de l'après guerre pour contourner l'achat de la tôle avec des bons matière...
Joli mais demande un entretien phénoménal.