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Re: Photos anciennes - Toutes categories
De Jacky : "Au premier plan, un cache culbu AMC de la vraie mécanique...même si ce sont des veaux!"
Tout est normal puisque le cache culbus est posé sur la selle.
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JacquesD
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Re: Photos anciennes - Toutes categories
Poilante la photo du Glaude : Si ce n’étaient les gugusses avec casques intègres on pourrait se croire au départ d’une course de côte dans les années 30 du côté de Corent dans le Puy de Deûme...Le plus fort dans la chiade étant celui qui a dégotté une vieille combarde rapée genre TT pour se la jouer Ebenezer Maugham...
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A noter, que les trois gusses poussent leur Veloce ..... Merci d'être venu .
La ligue des motocyclistes indépendants,...c'te race !
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yvesmetz a écrit :A noter, que les trois gusses poussent leur Veloce ..... Merci d'être venu .
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yvesmetz a écrit :A noter, que les trois gusses poussent leur Veloce ..... Merci d'être venu .
J'avais vu, mais j'avais pas osé !
(Pour les nouveaux, il faut comprendre que lors d'un séjour en Angleterre, j'ai passé mon temps à pousser la Velocette de druid qui refusait de démarrer !)
ツ
Jean-Luc aka mimi.lulu - administrateur
Il n'y a aucune urgence, il n'y a que des gens en retard.
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Re: Photos anciennes - Toutes categories
Mon pauv' Mimi.lulu... t'as pas eu d'bol.
Depuis, elle démarre au premier coup de kick. Et ce n'est pas Yvesmetz qui pourra dire le contraire, puisqu'il a pu le constater de visu, il y a peu chez Jivaro.
Le même Yvesmetz, qui revenant d'un tour à son guidon, avait déjà mal aux poignées après n'avoir parcouru qu'un km, râlant parce que la position était trop sportive, qu'il n'arrivait pas à attraper le sélecteur et que la moto ne braquait pas
J't'avais promis de te la faire essayer, t'as pu l'essayer. Dommage, on n'a pas de photo.
Bon, concernant la photo, c'est la famille Rhodes ( les papes des Velocette ).
Ce sont des motos de course, sans kick... donc, on pousse ! Bande d'ignares !
Depuis, elle démarre au premier coup de kick. Et ce n'est pas Yvesmetz qui pourra dire le contraire, puisqu'il a pu le constater de visu, il y a peu chez Jivaro.
Le même Yvesmetz, qui revenant d'un tour à son guidon, avait déjà mal aux poignées après n'avoir parcouru qu'un km, râlant parce que la position était trop sportive, qu'il n'arrivait pas à attraper le sélecteur et que la moto ne braquait pas
J't'avais promis de te la faire essayer, t'as pu l'essayer. Dommage, on n'a pas de photo.
Bon, concernant la photo, c'est la famille Rhodes ( les papes des Velocette ).
Ce sont des motos de course, sans kick... donc, on pousse ! Bande d'ignares !
Easy on the throttle, steady on the gears, roll her over gently and she'll last for many years.
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Re: Photos anciennes - Toutes categories
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Y s est meme fait pousser par des gros barbus tatoués en HD
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La BMW ca doit être une rare R 71, produite en quantité en Russie puis en Chine. J'ai un cadre et des roues en ce moment dans mon garage.
La dernière photo sent la Belgique du bord de la Meuse, farcie de motos américaines...
Le long de la Meuse, c'est là qu'il y avait les douaniers français les plus cons et ripous que j'ai jamais vu de ma vie!
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Réparation sur le bord de la route :
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Re: Photos anciennes - Toutes categories
Hé oui au début c'était comme ça, les chevaux perdaient les clous de leurs fers, clous qui n'étaient pas perdus pour tout le monde.
Au Tour de France il ne fallait pas se faire aider par qui que ce soit, sous peine d'être disqualifié.
Les vélos n'avaient aucune assistance (surtout pas électrique), le dopage était à base de gros rouge et de perniflard, d'après les mauvaises langues, ce dernier était parfois dopé d'un peu d'éther, (mais que ne dit-on pas).
Au Tour de France il ne fallait pas se faire aider par qui que ce soit, sous peine d'être disqualifié.
Les vélos n'avaient aucune assistance (surtout pas électrique), le dopage était à base de gros rouge et de perniflard, d'après les mauvaises langues, ce dernier était parfois dopé d'un peu d'éther, (mais que ne dit-on pas).
JacquesD
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Re: Photos anciennes - Toutes categories
D'après ce que j'ai pu lire de récits de cyclistes de l'époque, ils emportaient des œufs qu'ils gobaient en cas de fringale.
Mais ils marchaient surtout à l’alcool de toutes sortes.
Extrait du journal personnel d'un cycliste amateur, qui participait à l'épreuve des 90 km du TCF : Paris → Bonnières le 12 mai 1895
http://www.rv37.fr/?page_id=1828
"...Je rentre en ville, examine en passant l’église assez curieuse et trouve enfin l’hôtel du T.C.F. où je me fais servir une tasse de bouillon chaud, un œuf et un gros morceau de pain que j’engloutis en un instant.
Je repars à 11 H. Au moment où je rejoins Léo, il me tend un verre de vin blanc. Il est exquis et me parait d’autant meilleur que je ne m’y attendais pas. Aussi je marche maintenant très bien. Léo part devant et j’entraine deux coureurs qui se sont placés derrière moi.
Un peu avant Bonnieres, ces deux messieurs voulant sans doute me battre à l’arrivée, emballent tout d’un coup, et je les laisse filer avec placidité.
À 11 H 38 je jette mon numéro aux contrôleurs de l’arrivée qui pointent mon temps et me répondent 4 H 38. C’est fait.
Je rentre aussitôt à l’hôtel où nous nous livrons aux douceurs d’une longue ablution, puis pendant que Léo guette un de ses amis nommé Courard qu’il a aperçu à Flins dans la course j’absorbe avec béatitude une excellente absinthe.
Peu après arrive le monsieur qui m’a accompagné jusqu’à Épône. Il est malade et essaie vainement de manger. Léo revient avec son ami : il est arrivé à 11 H 59.
Devinant qu’on mangerait fort mal dans cet hôtel, je propose d’aller déjeuner à la Roche Guyon d’exquise mémoire. C’est accepté, et après une explication avec mon contrôleur de Rolleboise, nous voilà partis.Nous reprenons une absinthe à Freneuse et arrivons à la Roche Guyon à midi ¾. Le village est toujours charmant et je le revois avec enthousiasme. Mes deux amis, en qualité de peintres sont enchantés aussi et nous nous mettons à table avec un appétit de mauvaise augure. Au premier se trouve une nombreuse société de jeunes gens très aimables qui jouent du piano et qui nous bombardent de gâteaux secs de leur fenêtre.
Nous déjeunons dehors, devant un merveilleux paysage, et comme il fait très chaud, nous faisons arroser de temps en temps autour de nous par un jeune domestique. Après le café, en humant un cigare, nous nous acheminons vers le château et après avoir attendu que la concierge ait fini de donner à téter à son jeune enfant, nous obtenons de visiter."
Mais ils marchaient surtout à l’alcool de toutes sortes.
Extrait du journal personnel d'un cycliste amateur, qui participait à l'épreuve des 90 km du TCF : Paris → Bonnières le 12 mai 1895
http://www.rv37.fr/?page_id=1828
"...Je rentre en ville, examine en passant l’église assez curieuse et trouve enfin l’hôtel du T.C.F. où je me fais servir une tasse de bouillon chaud, un œuf et un gros morceau de pain que j’engloutis en un instant.
Je repars à 11 H. Au moment où je rejoins Léo, il me tend un verre de vin blanc. Il est exquis et me parait d’autant meilleur que je ne m’y attendais pas. Aussi je marche maintenant très bien. Léo part devant et j’entraine deux coureurs qui se sont placés derrière moi.
Un peu avant Bonnieres, ces deux messieurs voulant sans doute me battre à l’arrivée, emballent tout d’un coup, et je les laisse filer avec placidité.
À 11 H 38 je jette mon numéro aux contrôleurs de l’arrivée qui pointent mon temps et me répondent 4 H 38. C’est fait.
Je rentre aussitôt à l’hôtel où nous nous livrons aux douceurs d’une longue ablution, puis pendant que Léo guette un de ses amis nommé Courard qu’il a aperçu à Flins dans la course j’absorbe avec béatitude une excellente absinthe.
Peu après arrive le monsieur qui m’a accompagné jusqu’à Épône. Il est malade et essaie vainement de manger. Léo revient avec son ami : il est arrivé à 11 H 59.
Devinant qu’on mangerait fort mal dans cet hôtel, je propose d’aller déjeuner à la Roche Guyon d’exquise mémoire. C’est accepté, et après une explication avec mon contrôleur de Rolleboise, nous voilà partis.Nous reprenons une absinthe à Freneuse et arrivons à la Roche Guyon à midi ¾. Le village est toujours charmant et je le revois avec enthousiasme. Mes deux amis, en qualité de peintres sont enchantés aussi et nous nous mettons à table avec un appétit de mauvaise augure. Au premier se trouve une nombreuse société de jeunes gens très aimables qui jouent du piano et qui nous bombardent de gâteaux secs de leur fenêtre.
Nous déjeunons dehors, devant un merveilleux paysage, et comme il fait très chaud, nous faisons arroser de temps en temps autour de nous par un jeune domestique. Après le café, en humant un cigare, nous nous acheminons vers le château et après avoir attendu que la concierge ait fini de donner à téter à son jeune enfant, nous obtenons de visiter."