Jackymoto a écrit :Berliet T 1oo Tulsa, invendable aux USA pour lesquelles il avait été dessiné.
Pourquoi il était invendable aux USA ? Pas de réseau ?
Jackymoto a écrit :Berliet T 1oo Tulsa, invendable aux USA pour lesquelles il avait été dessiné.
Moi j'aime bien quand tu es en train et que tu t'égares !JacquesD a écrit :En 1966 je suis monté dans le T 100 qui se trouve actuellement à la fondation Berliet.
En 1966 ils étaient deux à être sur cales dans la concession Berlier de Ouargla au Sahara.
Les gars les faisaient tourner tous les deux ou trois mois pour éviter la rouille dans les roulements et autres pièces, quoi que la rouille au Sahara n'était pas un grand souci étant donné le peu d'humidité.
Le temps a passé et lorsque Berliet a pu en récupérer (un dans les années 80 je crois), il était dans un triste état.
Ces camions T 100 ont très peu roulé au Sahara, d'autres ressources de pétrole ont été trouvées ailleurs que dans le "Grand Erg Oriental" où il fallait le T 100 seul capable de se déplacer dans le sable qui parfois est très peu "porteur".
Il y en a eu un en France qui tournait dans une carrière (peut-être vers Limoges).
Lorsque je suis arrivé au Sahara en octobre 1964 la plupart des gros camions des plateformes pétrolières étaient des Kenworth (américains) ou des Willème bien français et bien secoués par les pistes.
Il y avait aussi des floppées de Berliet d'une trentaine de tonnes.
En général les T 100 ne servaient que pour déplacer les très grosses pompes à boue qui était trop longues à dissocier en plusieurs colis.
Quant aux américains, ils sont assez réticents pour utiliser les trucs qu'ils n'ont pas inventé (ils ont fait le coup pour la "Caravelle" de Sud Aviation et ensuite pour le "Concorde".
Ce qui n'enlève pas le mérite des gars qui ont débarqué le 6 juin 1944 et pour qui nous n'aurons jamais assez d'or pour frapper les médailles qu'ils ont mérité ce jour-là.
De même que nous n'aurons jamais assez de cuir en France pour fabriquer les godillots nécessaires pour botter le cul des enfoirés qui ont rendu cette guerre inévitable, mais ces derniers n'étaient pas là le 6 juin 44, nous non plus d'ailleurs, à part les 177 commandos Kieffer qui n'étaient pas tous français de souche, mais qui étaient là.
Lorsque les bombes arrêtaient de tomber, les fauteurs de guerre sortaient les costards et les chapeaux, les comptes d'apothicaires
pouvaient commencer.
Mais je m'égare du sujet.
JacquesD a écrit :En 1966 je suis monté dans le T 100 qui se trouve actuellement à la fondation Berliet.
En 1966 ils étaient deux à être sur cales dans la concession Berlier de Ouargla au Sahara.
Les gars les faisaient tourner tous les deux ou trois mois pour éviter la rouille dans les roulements et autres pièces, quoi que la rouille au Sahara n'était pas un grand souci étant donné le peu d'humidité.
Le temps a passé et lorsque Berliet a pu en récupérer (un dans les années 80 je crois), il était dans un triste état.
Ces camions T 100 ont très peu roulé au Sahara, d'autres ressources de pétrole ont été trouvées ailleurs que dans le "Grand Erg Oriental" où il fallait le T 100 seul capable de se déplacer dans le sable qui parfois est très peu "porteur".
Il y en a eu un en France qui tournait dans une carrière (peut-être vers Limoges).
Lorsque je suis arrivé au Sahara en octobre 1964 la plupart des gros camions des plateformes pétrolières étaient des Kenworth (américains) ou des Willème bien français et bien secoués par les pistes.
Il y avait aussi des floppées de Berliet d'une trentaine de tonnes.
En général les T 100 ne servaient que pour déplacer les très grosses pompes à boue qui était trop longues à dissocier en plusieurs colis.
Quant aux américains, ils sont assez réticents pour utiliser les trucs qu'ils n'ont pas inventé (ils ont fait le coup pour la "Caravelle" de Sud Aviation et ensuite pour le "Concorde".
Ce qui n'enlève pas le mérite des gars qui ont débarqué le 6 juin 1944 et pour qui nous n'aurons jamais assez d'or pour frapper les médailles qu'ils ont mérité ce jour-là.
De même que nous n'aurons jamais assez de cuir en France pour fabriquer les godillots nécessaires pour botter le cul des enfoirés qui ont rendu cette guerre inévitable, mais ces derniers n'étaient pas là le 6 juin 44, nous non plus d'ailleurs, à part les 177 commandos Kieffer qui n'étaient pas tous français de souche, mais qui étaient là.
Lorsque les bombes arrêtaient de tomber, les fauteurs de guerre sortaient les costards et les chapeaux, les comptes d'apothicaires
pouvaient commencer.
Mais je m'égare du sujet.
Je viens juste d'envoyer à mon pote, la lettre que son pèreDe même que nous n'aurons jamais assez de cuir en France pour fabriquer les godillots nécessaires pour botter le cul des enfoirés qui ont rendu cette guerre inévitable, mais ces derniers n'étaient pas là le 6 juin 44, nous non plus d'ailleurs, à part les 177 commandos Kieffer qui n'étaient pas tous français de souche, mais qui étaient là.
JacquesD a écrit :En 1966 je suis monté dans le T 100 qui se trouve actuellement à la fondation Berliet.
En 1966 ils étaient deux à être sur cales dans la concession Berlier de Ouargla au Sahara.
Les gars les faisaient tourner tous les deux ou trois mois pour éviter la rouille dans les roulements et autres pièces, quoi que la rouille au Sahara n'était pas un grand souci étant donné le peu d'humidité.
Le temps a passé et lorsque Berliet a pu en récupérer (un dans les années 80 je crois), il était dans un triste état.
Ces camions T 100 ont très peu roulé au Sahara, d'autres ressources de pétrole ont été trouvées ailleurs que dans le "Grand Erg Oriental" où il fallait le T 100 seul capable de se déplacer dans le sable qui parfois est très peu "porteur".
Il y en a eu un en France qui tournait dans une carrière (peut-être vers Limoges).
Lorsque je suis arrivé au Sahara en octobre 1964 la plupart des gros camions des plateformes pétrolières étaient des Kenworth (américains) ou des Willème bien français et bien secoués par les pistes.
Il y avait aussi des floppées de Berliet d'une trentaine de tonnes.
En général les T 100 ne servaient que pour déplacer les très grosses pompes à boue qui était trop longues à dissocier en plusieurs colis.
Quant aux américains, ils sont assez réticents pour utiliser les trucs qu'ils n'ont pas inventé (ils ont fait le coup pour la "Caravelle" de Sud Aviation et ensuite pour le "Concorde".
Ce qui n'enlève pas le mérite des gars qui ont débarqué le 6 juin 1944 et pour qui nous n'aurons jamais assez d'or pour frapper les médailles qu'ils ont mérité ce jour-là.
De même que nous n'aurons jamais assez de cuir en France pour fabriquer les godillots nécessaires pour botter le cul des enfoirés qui ont rendu cette guerre inévitable, mais ces derniers n'étaient pas là le 6 juin 44, nous non plus d'ailleurs, à part les 177 commandos Kieffer qui n'étaient pas tous français de souche, mais qui étaient là.
Lorsque les bombes arrêtaient de tomber, les fauteurs de guerre sortaient les costards et les chapeaux, les comptes d'apothicaires pouvaient commencer.
Mais je m'égare du sujet.
Jackymoto a écrit :Les Américains chantre du libéralisme, sont des vrais fachos protectionnistes contre tout ce qui vient d'ailleurs que de chez eux!