IL Y A DES BONNES RAISONS DE CROIRE QUE TOUT CE QUI SUIT DEVIENDRA RÉALITÉ AU COURS DES 10-15 PROCHAINES ANNÉES ?

[Fraky999]

L'homme ne détruit pas la planète, il n'en a pas les moyens, il se détruit lui même.

Disons qu’on en a plus les moyens, le stock mondial d’arme nucléaire n’est plus suffisant pour détruire la planète depuis la fin des années 80!

Franck, mon point de vue concerne la planète en elle même, intrinséquement, pas ce qui vit à sa surface.
La terre à connu des cataclysmes bien plus violents que celui que pourrait provoquer l'explosion de tous les mégatonnes de nos bombes atomiques associés et elle y a survécu.

Oui, j’avais bien saisi.
Mais il me semble avoir lu que lorsque le stock d’armes nucléaires était à son apogée, si les bombes étaient réparties équitablement sur la surface de la terre, l’explosion était suffisante pour détruire physiquement la terre. Mais c’est peut être une légende urbaine.

[van.alstine]

Mais il me semble avoir lu que lorsque le stock d’armes nucléaires était à son apogée, si les bombes étaient réparties équitablement sur la surface de la terre, l’explosion était suffisante pour détruire physiquement la terre. Mais c’est peut être une légende urbaine.

Cela aurait provoqué un "hiver nucléaire",
la quantité de poussière soulevée aurait créé un masque d'une ampleur inédite arrêtant la lumière,
donc baisse de la température, plus de photosynthèse donc disparition de la plupart des végétaux, etc ... etc ... etc ...
sans compter bien entendu la radioactivité et ses conséquences
mais la planète en tant que telle aurait survécu, c'est la forme de vie actuelle qui aurait disparu.

[JacquesD]

De Van.Alstine :
"la planète en tant que telle aurait survécu, c'est la forme de vie actuelle qui aurait disparu".

Cela aurait mis la Terre en jachère, une sorte de "reset" avant un nouveau départ.
Une sorte de cata instantanée au lieu du truc actuel qui se traîne en longueur.
Des trucs peut-être naturels et ayant sans doute déjà existé dans le passé de la Terre, mais très pénibles à vivre pour ceux qui en sont les contemporains.