druid a écrit :bobos parisiens
aaahhh ! enfin !
Tu as été long à sortir de ta tanière !
Je ne connais pas le terme pour ce genre d'affirmation, mais dans un autre cadre on pourrait dire que tu as décroché le point godwin du fil de discussion.
druid a écrit :bobos parisiens
Daniel78 a écrit :Ils n'ont pas dû cibler cette course par hasard.
L'enduro c'est 400 motos bruyantes, des machines avec pas mal de chevaux, de gros crampons, et des gars qui mettent du gros gaz.
jbt a écrit :Daniel78 a écrit :Ils n'ont pas dû cibler cette course par hasard.
L'enduro c'est 400 motos bruyantes, des machines avec pas mal de chevaux, de gros crampons, et des gars qui mettent du gros gaz.
L'enduro, c'est des contrôles au sonomètre systématiques et surprises qui sont draconiens avec mise hors course en cas de seuil dépassé , des pneus avec une hauteur de crampons réduite (les pneus FIM) et des moteurs adoucis et dégonflés pour, précisément, conserver la motricité, ne pas perdre de temps et ne pas se fatiguer.
Soit l'exact opposé des idées reçues que tu déroules.
Tonton a écrit :Petit rappel de ce qu'est un Bobo ....
Pêché sur le net , y'à que l'embarras du choix !
Contraction de "bourgeois-bohème", le terme "bobo" désigne de manière plutôt péjorative une catégorie socioprofessionnelle (CSP) de personnes aisées habitant les grands centres urbains et politiquement situées plutôt à gauche et sensibles à l'écologie.
Il trouve son origine dans le livre du journaliste américain David Brooks "Bobos in Paradise" publié en 2000. Décrits à partir d'une analyse de la société américaine pour suivre la transformation des yuppies (Young Urban Professional : Jeunes cadres dynamiques aux USA) des années 1980, les bobos sont censés caractériser un groupe social à partir des valeurs partagées par ses membres, plutôt que par des caractéristiques socio-économiques ou démographiques. Pour l'auteur, cette classe supérieure se situe au croisement de l'idéalisme des années 1960 et des comportements libéraux et individualistes de l'ère Reagan. Elle peut être observée dans tous les pays développés et plus particulièrement en France.
Daniel78 a écrit :Tonton a écrit :Petit rappel de ce qu'est un Bobo ....
Pêché sur le net , y'à que l'embarras du choix !
Contraction de "bourgeois-bohème", le terme "bobo" désigne de manière plutôt péjorative une catégorie socioprofessionnelle (CSP) de personnes aisées habitant les grands centres urbains et politiquement situées plutôt à gauche et sensibles à l'écologie.
Il trouve son origine dans le livre du journaliste américain David Brooks "Bobos in Paradise" publié en 2000. Décrits à partir d'une analyse de la société américaine pour suivre la transformation des yuppies (Young Urban Professional : Jeunes cadres dynamiques aux USA) des années 1980, les bobos sont censés caractériser un groupe social à partir des valeurs partagées par ses membres, plutôt que par des caractéristiques socio-économiques ou démographiques. Pour l'auteur, cette classe supérieure se situe au croisement de l'idéalisme des années 1960 et des comportements libéraux et individualistes de l'ère Reagan. Elle peut être observée dans tous les pays développés et plus particulièrement en France.
Donc rien de spécifiquement parisien là-dedans ?
mimi.lulu a écrit :Daniel78 a écrit :Tonton a écrit :Petit rappel de ce qu'est un Bobo ....
Pêché sur le net , y'à que l'embarras du choix !
Contraction de "bourgeois-bohème", le terme "bobo" désigne de manière plutôt péjorative une catégorie socioprofessionnelle (CSP) de personnes aisées habitant les grands centres urbains et politiquement situées plutôt à gauche et sensibles à l'écologie.
Il trouve son origine dans le livre du journaliste américain David Brooks "Bobos in Paradise" publié en 2000. Décrits à partir d'une analyse de la société américaine pour suivre la transformation des yuppies (Young Urban Professional : Jeunes cadres dynamiques aux USA) des années 1980, les bobos sont censés caractériser un groupe social à partir des valeurs partagées par ses membres, plutôt que par des caractéristiques socio-économiques ou démographiques. Pour l'auteur, cette classe supérieure se situe au croisement de l'idéalisme des années 1960 et des comportements libéraux et individualistes de l'ère Reagan. Elle peut être observée dans tous les pays développés et plus particulièrement en France.
Donc rien de spécifiquement parisien là-dedans ?
Ben évidemment !
Il n'y a que les ploucs auvergnats pour faire des amalgames !
(humour* bien sûr)
* Nan mais je précise "humour" parce que des fois ça démarre au quart de tour !
. Toujours trés bien accueilli et de toutes les façons, on est plus nombreux qu'eux! (à noter qu'aucune moto n'avait des pots bricolés). Pour l'enduro, c'est comme le nucléaire: c'est bien à condition que ça soit loin de chez eux...430 motos, ça laisse des traces et ce n'est forcément pas trés silencieux.Et comment les motards ont-ils été accueillis ? Je te demande ça parce que parmi les participants devaient aussi se trouver quelques zigotos (ou proches de) ayant mené des actions contre l'Enduro du Limousin.
mimi.lulu a écrit :...
Il n'y a que les ploucs auvergnats pour faire des amalgames ! ...
Marco a écrit :...les Auvergnats, ce sont... heu, des péquenots normaux.