nirlo a écrit :Peut-être, mais l'avantage de prix essence gas-oil ne date pas d'hier, mais à l'époque diesel signifiait " tracteur " ou encore " indenor " et autres taxis poussifs mais endurant et l'avantage date des années 60, quand les gouvernements de l'époque ont fait le pari du diesel. Mais voilà le diesel est sorti du domaine où il aurait dû rester, celui des gros moteurs plein de couple et lents impeccable pour avaler des kilomètres ou tracter des lourdes charges. Seulement avec la crise, les gens ont commencé à s'intéresser au diesel pour réduire leur budget carburant. Bien sûr les gens ont fait l'impasse sur les autres coûts. Alors ils ont commencé à réclamer des moteurs plus performants et les constructeurs ont suivi quand le marché de l'automobile s'effondrait. Et que la concurrence étrangere commençait à déferler sur un marché alors dominé par les marques nationales. Et Peugeot qui avait de l'expérience a logiquement domine le marché. Aux États-Unis ou l'essence était peu chère, ce sont les moteurs essence qui ont logiquement dominé, même pour les pieds lourds. Alors effectivement il y avait deux cent mille emplois à la clé, mais les circonstances ont commandé aux politiques ce choix. Il y a la une filière d'excellence qui va nous échapper. Bien sûr les particules fines existent, mais j'ai déjà expliqué ce que personne ne veut entendre alors je le redis, en appliquant avec retard, comme d'habitude une directive européenne abaissant les seuils de déclenchement des alertes pollution, en pratique de 50 pour le déclenchement (au lieu de 85) et à 85 pour la mise en place des mesures actives (au lieu de 125) on a mécaniquement augmenté la pollution. Mais personne ne le dit car c'est remettre en cause la nouvelle stratégie " haro sur le diesel ". D'autant que fabriquer du gas-oil de bonne qualité pour les moteurs modernes et performant, de plus en plus demandés, coûte cher et rapporte moins puisque tout le monde veut, ou plutôt voulait du diesel, à un moment où l'État veut du pognon. Alors une bonne campagne bien mise en scène et reprise par des journalistes qui font du copié collé et voilà le travail. Sincèrement, j'ai survécu au chauffage au charbon, j'ai fumé et je me demande comment je suis encore de ce monde. Quand je lis des accrochés d'articles de journaux qui désignent Paris comme Pékin sur Seine, je me demande si ils sont allés à Pékin, mais crois surtout qu'ils sacrifient sans pudeur à la mode du moment. Surtout que maintenant il faut promouvoir la voiture électrique. Comme quoi tu as peut être raison. Mais je t'invite à regarder tout ce que tu peux sur ces voitures, mais hormis le fait qu'on les fait marcher au nucléaire (gros mots) en France ou au charbon ailleurs (c'est pas mieux !) . Mais surtout on respecte nos engagements " cop 21 " en transportant notre pollution ailleurs, surtout en ce qui concerne l'extraction des minéraux nécessaires u batteries. Quel hypocrisie, sans compter que, dedépendant du pétrole, on devient dépendant de ces minerais. Où est le progrès ?
Le pourquoi du diesel en France...
Ça remonte au 60's avec de Gaulle.
Il pousse au tout électrique et au nucléaire.
Du coup, que faire ?
C'est simple... On pousse Peugeot (entre autre) à faire des véhicules pour écouler toute la surproduction de diézole !
Et voili !
La pollution à c'tépoque, rien d'a foutre.
Un artike interressant icite :
http://www.francetvinfo.fr/economie/pou ... 41237.html