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Le Coin de la Technique

Le pneu n'aurait jamais été ce qu'il est devenu sans l'invention de la vulcanisation du caoutchouc par Charles Goodyear en 1839 :

ce procédé, consistant à cuire la gomme en présence de soufre, permettait de lui faire perdre sa plasticité.


L'histoire commence avec Dunlop en 1887 ! Depuis le pneu n'a cessé de se perfectionner pour répondre aux contraintes énormes liées à la puissance des motos.


Un pneu, c'est principalement une carcasse, de la gomme et des dimensions.
Les carcasses sont constituées de plusieurs couches, ou nappes, disposées en travers du pneu, en biais les unes par rapport aux autres dans un angle spécifique. C'est la carcasse qui assure la rigidité du pneu et qui permet de réduire les déformations du pneu dues entre autre à la vitesse.
La carcasse est divisée en trois parties :
· le talon, très rigide, qui garantit la fixation à la jante,
· le flanc, plus souple,
· la bande de roulement.

                                

  

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Radial et diagonal
Le pneu a historiquement été diagonal. Michelin invente le radial en 1946.
Un pneu est dit radial lorsque les éléments de sa structure se croisent avec un angle supérieur à 90°. Lorsque cet angle est inférieur à 90°, les pneus sont dits "diagonaux".
Les pneus avant et arrière doivent absolument avoir la même structure.
Par contre, la gomme peut être différente à l'avant et à l'arrière, mais si possible chez le même fabricant : sport à l'avant, routier à l'arrière par exemple.

                                                                   

                                                                           Pneu radial                                           Pneu diagonal

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Lire les pneus


Dimensions :
exemple :
· Avant : 110/70 ZR 17 54H
· Arrière : 150/70 ZR 17 69H
Le premier nombre (ex: 110) indique la largeur du pneu en millimètres, le 2e nombre (ex: 70) indique le rapport en pourcentage entre la largeur et la hauteur du pneu, le 3e nombre (ex: 17) indique le diamètre intérieur du pneu (en pouces! 1 pouce = 2,54cm), le 4e nombre (ex: 54) indique l'indice de charge.
Tableau d'indice de charge
Indices Charges Indices Charges Indices Charges Indices Charges Indices Charges Indices Charges
20 80 30 106 40 140 50 190 60 250 70 335
24 90 35 121 44 160 54 212 69 325 76 400
A noter, que monter un pneu plus large que la monte d'origine n'apporte rien, sans compter les pertes de vitesse, de maniabilité et de stabilité à basse vitesse.
Indice de vitesse
La première lettre - par ex. Z - détermine la vitesse maximale pour laquelle le pneu a été conçu, soit pour :
· Z : +240 km/h · V : 240 km/h · H : 210 km/h · U : 200 km/h · T : 190 km/h · R : 170 km/h · P : 150 km/h
La deuxième lettre - par ex. R - détermine le type de construction du pneu à structure radiale (il n'y a aucune indication pour les pneus à structure diagonale) :
· R : carcasse radiale (X chez Michelin)
· B : carcasse semi-radiale
Abréviations usuelles
· TL : Tubeless
· TT : Tube type (avec chambre)
· SW : Flanc blanc
· RWL : Lettres blanches

tiré du site : http://mecamotors.free.fr/b_partie_cycle/08_pneumatique/pneuma01.html


Des pneus insuffisamment gonflés s'usent plus rapidement.


Des pneus trop gonflés offrent une surface de contact réduite avec la route et peuvent entraîner des dérapages.
Il est particulièrement important de vérifier régulièrement la pression des pneus et avant chaque grand périple; une variation de pression de 200 grammes modifie de façon importante la tenue de route de la moto.
Vérifier également la présence du bouchon de valve... qui protège la valve et permet d'assurer une étanchéité parfaite. Un bouchon de valve absent peut signifier une perte de pression importante en quelques kilomètres.


Changements prévus :
La durée de vie des pneus dépend de deux facteurs: le type de gomme et le type de conduite du pilote.
Des gommes mi-tendres de type BT 010 permettent un changement tous les 12.000km. Par contre, opter pour des gommes tendres de type D207 divisera la durée de vie par deux: environ 7000 km. A contrario, j'ai vu des BT54 d'origine changés au bout de 23.000 km ! Tout dépend de l'utilisation.


Une gomme tendre apportera en contrepartie une tenue de route extraordinaire, permettra des prises d'angle bien plus importantes et un comportement plus sain à haute vitesse. Bref, on collera à la route, ce qui n'est pas obligatoirement le cas avec la monte d'origine dès qu'on la pousse dans ses retranchements.


· Pneu avant : tous les 12.000 km en moyenne (extrême à 18000 km)
· Pneu arrière : tous les 10.000 km en moyenne (extrême à 18000 km)


Attention ! toujours monter les pneus en respectant la direction de rotation indiquée par les flèches figurant sur la paroi latérale des pneus.
Penser à rajouter le prix du montage, soit environ 10 euros pour l'avant, et 15-20 euros pour l'arrière. En fait, il est conseillé de profiter des forfaits montage. Personnellement, je trouve que du coup, cela ne vaut pas le coup de s'embêter.
Un équilibrage sera facturé 7 euros; le remplacement de la valve 6 euros.

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Important
Un pneu se "rode". Il faut savoir que les pneus sont enduits d'un agent démoulant pour être démoulé facilement après sa cuisson. Cette couche n'est pas supprimée et il est important de l'éliminer sur la route au cours de la première centaine de kilomètres. L'effet est exactement le même que s'il avaient été enduit de savon. Donc, prudence !

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Petits historiques


Les Michelin Macadam 100X ont remplacé les Macadam 90X. Le Battlax BT 020 a remplacé en juin 2000 les BT 57 et BT54 et concurrence les Mcadam 90, Metzeler ME Z4 et Dunlop 205. Le Battlax BT 010 a remplacé en juin 2000 le BT 56 et concurrence les Dunlop D207, Pirelli Dragon Evo et autre Michelin Pilot Sport.
Les critères d'évaluation


Un pneu se juge en fonction de :


· son grip : sa capacité à assurer la tenue de route y compris sur l'angle (adhérence, précision de guidage)
· son comportement à haute vitesse, en courbe et au freinage,
· son comportement sous la pluie (adhérence, évacuation de l'eau)
· son confort et sa capacité à absorber les irrégularités de la route ou à rebondir,
· sa maniabilité et sa capacité à rester sur la trajectoire imposée par le pilote

 


Commentaires
Il faut noter que le choix de la monte influe de façon majeure sur la tenue de route d'une moto, et notamment peut réduire (ou augmenter) le louvoiement quelquefois remarqué à haute vitesse.
 J'ai fait un couper-coller d'un article que je tiens de je ne sais où.
Le tableau indices/charge n'est pas trop lisible : il faut lire indice 20 = 80 kg jusqu'à indice 76 = 400 kg.
Au prix où sont vendus les pneus personne ne peut se permettre d'acheter des tas de jeux pour sélectionner celui qui donnera le meilleur résultat, nous sommes donc bien obligés de faire confiance aux vendeurs et, pour certaines dimensions devenus rares, on s'estime heureux de trouver quelque chose pour se chausser (un de mes neveux chausse du 49/50, alors il prend ce qu'il trouve), il a passé un de ses CAP avec un bulletin d'exemption de port de chaussures de sécurité). Ceux qui ont encore de vieilles motos des années 10/20 avec des pneus à talon comprendront.


 

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Réglementation du code de la route


Article R314-1
Les roues de tout véhicule à moteur et de toute remorque, à l'exception des véhicules et appareils agricoles, doivent être munies de pneumatiques.
Les pneumatiques, à l'exception de ceux des matériels de travaux publics, doivent présenter sur toute leur surface de roulement des sculptures apparentes.
Aucune toile ne doit apparaître ni en surface ni à fond de sculpture des pneumatiques.
En outre, ceux-ci ne doivent comporter sur leurs flancs aucune déchirure profonde.
Lorsque les véhicules et appareils agricoles sont munis de pneumatiques, ceux-ci ne doivent comporter sur leurs flancs aucune déchirure profonde et aucune toile ne doit apparaître ni en surface ni en fond de sculpture.
La nature, la forme, l'état et les conditions d'utilisation des pneumatiques et autres dispositifs prévus par le présent article sont déterminés par arrêté du ministre chargé des transports.
Le ministre chargé des transports peut accorder des dérogations aux obligations prévues au présent article pour les matériels de travaux publics.
Le fait de contrevenir aux dispositions du présent article relatives à la nature, la forme, l'état et les conditions d'utilisation des pneumatiques est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la quatrième classe.
L'immobilisation du véhicule peut être prescrite dans les conditions prévues aux articles L. 325-1 à L. 325-3.

 

Le coin des matheux..........Le pneumatique

 Note du ouaibmastair : bon, vous avez dix minutes pour digérer puis >>>>>>>>>>>>> interro écrite !

C'est l'élément d'interface entre le véhicule et la route. Sa capacité à transmettre les efforts est donc primordiale pour une bonne tenue de route. Ses qualités d'amortissement constituent également un premier dispositif d'isolation vibratoire vis-à-vis des sollicitations engendrées par la route.

La carcasse est constituée de caoutchouc, renforcé par plusieurs couches (appelées "plis") faites de fils de nylon, de verre, ou d'acier, c'est-à-dire de matériaux à module d'élasticité élevé afin de supporter les efforts de traction. Un paramètre important vis-à-vis de la tenue de route est l'alignement de ces fils. Dans un pneu radial, les fils sont disposés ... radialement, en vue de côté. Sur un pneu diagonal, l'angle des fils est typiquement de 40o avec l'axe longitudinal, les plis successifs étant orientés dans un sens puis dans l'autre. A la périphérie du pneu se trouve la bande de roulement, couche d'usure qui est effectivement en contact avec la route, et dont la profondeur est de l'ordre de 8 mm sur un pneu neuf. Le dessin de la bande de roulement est fondamental vis-à-vis de l'écoulement de l'eau, mais aussi du refroidissement sur route sèche. La dureté du caoutchouc choisi pour la bande de roulement résulte d'un compromis entre grip et usure.

Le caoutchouc utilisé dans les pneus, mélangé à d'autres composants comme de l'huile ou du noir de carbone, a une densité de l'ordre de 1200 kg/m3. Un pneu moderne typique pèse environ 12 kg, dont 4 de caoutchouc, 2 kg de noir de carbone, 2 kg d'huile, 3 kg d'acier et 1 kg de rayonne. Le caoutchouc ne représente donc qu'un tiers du poids total. La capacité thermique spécifique du mélange est de l'ordre de 1200 J/kg K. La conductivité thermique du caoutchouc est faible, et c'est en partie pour l'améliorer que l'on utilise du noir de carbone. La valeur à 20o est de l'ordre de k20 = 0.23 W/m K. La sensibilité de la conductivité à la température sur la plage qui nous intéresse (0 à 150o) peut être approximée par k = k20(293/T).

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Le caoutchouc est un matériau visco-élastique, ce qui signifie que son comportement peut être modélisé de la manière suivante :

Lorsqu'une excitation en déplacement est appliquée en A, la force résultante dépend de la fréquence. A basse fréquence, l'effet de l'amortisseur est quasi-négligeable, et la raideur apparente sera celle des deux ressorts en série. A haute fréquence, l'amortisseur ne bougera alors quasiment plus, et seul le ressort k1 jouera son rôle. Peu d'énergie est dissipée par l'amortisseur dans ces deux cas. Entre ces extrêmes, il existe évidemment un point où la dissipation d'énergie est maximale.

L'amortissement d'un pneu est non-linéaire, dépendant de l'amplitude, mais insensible à la pression car provoqué principalement par l'hystérésis de la carcasse et le frottement au sol.

Le coefficient de frottement \mu caoutchouc/sol dépend de la nature du sol, de la température T et de la vitesse de glissement v. La valeur de crête peut être supérieure à 2. Les courbes \mu = f(v) obtenues à différentes températures peuvent être ramenées à une seule en utilisant la transformation dite de Williams-Landel-Ferry (WLF) basée justement sur un modèle visco-élastique. Sur une surface assez rugueuse, il existe pour une certaine vitesse un pic assez marqué, dû à la distortion du caoutchouc autour des aspérités. Le noir de carbone améliore la résistance à l'usure mais diminue la valeur de crête et la valeur moyenne du coefficient de frottement. Il existe ceci dit des dizaines de variétés de noir, dont le comportement n'est évidemment pas identique. Les additifs à base d'huile permettent d'améliorer le coefficient de frottement, en remontant la courbe vers le haut et en favorisant plutôt les faibles vitesses de glissement.

Sur la glace, le coef de frottement du caoutchouc peut changer brutalement. Sur une glace très froide et lisse, on peut atteindre des coefficients plus élevés que sur le verre, avec des caoutchoucs adaptés. Cependant, juste en-dessous du point de fusion de la glace, la pression engendrée par le pneu la fait fondre, et le coefficient s'écroule.

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Le caoutchouc est en outre assez sensible à l'étendue de la zone de contact, contrairement à bon nombre de matériaux. En effet, du fait de sa souplesse, l'augmentation de la force verticale accroît l'aire de contact effective, le caoutchouc venant se "loger" dans les anfractuosités (ce n'est principalement pas la profondeur de ces irrégularités du sol qui joue, mais leur angle avec la verticale) . On constate que le coefficient de friction évolue proportionnellement à la pression moyenne de contact à la puissance -0.15. Une composante due à l'adhésion intervient aussi dans le frottement, par formation de liens moléculaires, du caoutchouc avec le sol. Cet aspect est plus important dans des conditions sèches, alors que la composante due à l'hystérésis est plus importante sur le mouillé.

On distingue trois rayons pour un pneu : un rayon non chargé Ru, un rayon sous charge R1, et un rayon effectif Re de roulement. Le premier est simplement donné par la circonférence du pneu divisée par 2 \pi. Le second, qui dépend évidemment de la charge, est la distance de l'axe de roue au sol. Il est égal au premier moins la déflexion verticale dt sous charge, qui est typiquement de 18 à 24 % de la section du pneu. Le rayon effectif Re est obtenu en divisant la vitesse de translation de l'axe de roue par la vitesse angulaire de la roue. Re est infini pour une roue bloquée en train de glisser, alors qu'il est nul pour une roue immobile en train de patiner. Re n'est pas égal à R1, même en "roulement libre". En fait, Re est plutôt proche de Ru dans ces conditions, et on a approximativement Re = Ru - dt/3.

La longueur de l'empreinte au sol est de l'ordre de la moitié du rayon, et l'arc sous-tendu est d'environ 30o. La couronne du pneu est donc marquée par un angle de 15o à chaque extrémité de la zone de contact.

La déflexion dt est assez précisément proportionnelle à la charge verticale, ce qui permet de dire que la raideur est approximativement constante. Elle est de l'ordre de 250 N/mm, et obtenue à 80 % par la pression de gonflage. Cette raideur varie avec la vitesse, puisqu'elle augmente de 0.4 % par m/s, et avec le ratio Cy = Fy/Fz entre force latérale et verticale, le coefficient étant ici négatif, de l'ordre de -0.2.

On peut également déterminer une raideur dynamique (en non-roulement), par exemple en laissant "tomber" le pneu d'une hauteur où il est juste en contact avec le sol. Son centre de gravité va alors osciller pour rejoindre la position d'équilibre sous charge, et l'allure de la sinusoïde amortie que l'on obtient permet de déterminer la raideur dynamique de ce pseudo-système à un ddl, ainsi que le décrément logarithmique.

La raideur dynamique en roulement peut être déterminée expérimentalement, en mesurant sa réponse à une excitation harmonique connue. Elle peut être, pour des voitures de tourisme, inférieure de 10 à 15 % à la raideur statique.

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L'amortissement d'un pneu est non-linéaire, dépendant de l'amplitude, mais insensible à la pression car provoqué principalement par l'hystérésis de la carcasse et le frottement au sol. Il peut être vu comme une combinaison d'un amortissement de Coulomb et d'un amortissement visqueux.

Au-delà d'une certaine vitesse de roulement, une onde se développe dans la couronne, avec une amplitude d'environ 10 mm et une longueur d'onde de l'ordre de 100 mm. Cette onde peut s'étendre sur plus d'un quart de la circonférence du pneu. La vitesse c de cette onde peut être donnée par

c = sqrt (t/\rho),

où t est la tension circonférentielle de la couronne (dépendant de la pression de gonflage et de la vitesse), et \rho sa masse volumique. Une fois cette vitesse périphérique dépassée, la bande de roulement n'a plus le temps de recevoir par déformation élastique l'information concernant l'impact prochain avec le sol. La longueur d'onde L correspondante dépend de la vitesse, et l'expression 

L = L0 sqrt ((v\c)2-1),

où L0 est une constante, permet de rendre compte des observations expérimentales.

L'analogie avec le nombre de Mach pour les fluides nous amène à définir le nombre de Turner

nT = v / c

où v est la vitesse de translation du véhicule, soit pour une roue "libre"

nT = \omega Ru / sqrt (t/\rho)

La présence de telles ondes est source de dissipation d'énergie, d'augmentation de la résistance au roulement et d'échauffement de la carcasse.

Le coefficient de résistance au roulement est de l'ordre de 0.01 à 0.025 pour les véhicules de tourisme, et vient à 80 % de l'hystérésis du matériau.

En fonctionnement, un pneumatique est soumis à plusieurs types d'efforts. Les efforts longitudinaux sont responsables de l'accélération ou du freinage. Les efforts latéraux permettent au véhicule de négocier un virage. Ces forces latérales et longitudinales sont exprimées dans un repère lié au pneu, repère mobile lorsqu'on tourne le volant, par exemple. On peut alors décomposer ces forces dans un repère lié au véhicule, et on parlera alors de force de traction pour la composante dans l'axe longitudinal du véhicule, et de force "centrale" pour la composante orthogonale.

Un pneu est également soumis à trois moments, un autour de chaque axe. Le moment autour de z est appelé moment d'auto-alignement, celui autour d'y est le moment de résistance au roulement, et le moment autour de x est le moment de renversement.

 

Note du ouaibmastair : bon, vous avez dix minutes pour digérer puis >>>>>>>>>>>>> interro écrite !

 

M'écrire : royalenfieldlesite@wanadoo.fr            

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